Leila Tajik a maintenant passé plus d’un an dans le quartier des femmes de la prison d’Evine, en Iran, dans l’attente que les tribunaux iraniens décident de son sort.
Cette prisonnière de 45 ans a été arrêtée avec son ex-mari en septembre 2017, dans le cadre d’une affaire conjointe ouverte par les services du renseignement des pasdarans, qui les accusant d'espionnage. Après son arrestation, elle a été interrogée pendant sept mois dans un avant-poste des pasdarans.
Une source bien informée a déclaré à Hrana que son ex-mari, qui avait déjà été, auparavant, arrêté par les pasdarans, était toujours détenu dans l'avant-poste. « Leurs enfants, Sahba, 16 ans et Sahand, 19 ans, souffrent de l'éclatement de leur famille et subissent des pressions supplémentaires de la part des pasdarans ».
Source : Les Militants des droits de l'homme en Iran - 29 septembre 2018
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