mercredi 31 août 2022

180 infirmières licenciées dans la province de Zanjan après l’annulation du plan spécial COVID-19

 Reza Bahmani, le directeur des soins infirmiers de la division de traitement des vices de l’université des sciences médicales de Zanjan, a annoncé le licenciement de 180 infirmières du système universitaire de cette province du nord-ouest de l’Iran.

Bahmani a annoncé que « toutes les infirmières doivent adhérer au régime obligatoire des infirmières pendant 2 ans ». Par la suite, un plan d’extension volontaire de 2 ans et un plan spécial COVID-19 de 2 ans ont été proposés aux infirmières. Par conséquent, certaines infirmières ont eu tendance à s’inscrire et à s’engager dans ce projet pendant 4 ans. (L’agence de presse étatique ISNA – 27 août 2022)

Iran : de jeunes insurgés visent le commandement de la milice du Bassidj à Behbahan

 Dans la soirée du 30 aout, à 21h30, heure locale, de jeunes insurgés à Behbahan (dans le sud-ouest de l’Iran) ont visé le complexe de commandement de la milice du Bassidj des pasdarans. Des explosions successives ont retenti dans le secteur.

Dans ce complexe se trouvent les principales forces de répression des manifestations, qui lors des soulèvement de novembre 2019, de 2020 et de 2021 ont envoyé des meutes de pasdarans et de miliciens du Bassidj dans les rues de Behbahan. Ils y avaient frappé et arrêté des jeunes manifestants. Des tireurs d’élite avaient blessé et tué de nombreux innocents et jeunes insurgés dans différents quartiers de la ville, et une multitude de jeunes avaient été arrêtés, beaucoup se trouvant toujours dans les prisons du régime.

Province de Téhéran : de jeunes insurgés visent la milice du Bassidj de Pakdacht

 Dans la soirée du 28 aout, à 22h30, heure locale, de jeunes insurgés à Téhéran ont visé la base de la milice du Bassidj des pasdarans à Pakdacht, situé dans la province de Téhéran. Une série d’explosions a retenti dans le secteur.

La présence du président du régime iranien Ebrahim Raïssi à l’AGNU77 est une violation des principes des droits de l’homme

 – Le 19 juin 2021, Amnesty International a annoncé dans un communiqué que le président actuel du régime, Ebrahim Raïssi, devait faire l’objet d’une enquête pour crimes contre l’humanité commis lors du massacre des prisonniers politiques en 1988.

Le CNRI dépose plainte contre Raïssi aux États-Unis avant l’AGNU

– Jeudi, la coalition de l’opposition iranienne, le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), a annoncé le dépôt d’une plainte contre Raïssi, le président du régime iranien, à New York. Il a exhorté les autorités américaines de lui refuser un visa et de prendre des mesures à son encontre.

Iran : exécutions de 13 condamnés en cinq jours

 Du 24 au 28 aout, les bourreaux des mollahs ont pendu au moins 13 prisonniers. Le 28 aout, deux prisonniers nommés Mojtaba Khademi-Nejad et Rahim Qanbar-Zehi ont été pendus à Chiraz et deux autres, nommés Ismail Bargrizan et Saïd Saboki, à Bandar-Abbas. Le 27 aout, un condamné nommé Omid Ali Gueravand a été exécuté à la prison de Khorramabad et deux autres, nommés Gholamreza Kazemi et Reza Zahmati, à la prison de Zabol. Le 26 aout, un prisonnier a été pendu à Téhéran et le 24 aout, deux prisonniers nommés Mohammad Reza Shahramfar et Hadi Joz’hi ont été pendus avec 3 autres détenus à la prison de Gohardacht à Karadj.

Au moins 71 prisonniers ont été exécutés au mois iranien de Mordad (23 juillet au 22 aout).

Le sport, les athlètes iraniens et le régime d’Iran

 – Durant plus de quatre décennies, les athlètes iraniens, et le sport en général, ont été grandement affectés par le règne des mollahs en Iran. Dès le début de la révolution antimonarchique de 1979, les mollahs n’ont montré aucun respect pour les sports et les athlètes. Des règles et règlements répressifs et restrictifs ont été normalisés, suivis d’accusations, d’amendes et d’emprisonnements. De nombreux sites sportifs ont été transformés en mosquées et en centres de détention ou les autorités iraniennes les ont contraints de fermer purement et simplement.

Exécutions d’un Baloutche et d’un ressortissant afghan à Chiraz

– le 28 août, les autorités iraniennes ont procédé aux exécutions à la prison centrale de Chiraz, de Rahim Ghanbarzehi, un Baloutche et de Mojtaba Khademinejad, un ressortissant afghan. La justice des mollahs les avait tous deux condamnés à mort sur la base d’infractions liées à la drogue.

Selon les informations obtenues par Iran Human Rights, Rahim Ghanbarzehi (photo), âgé de 40 ans, était plus connu sous le nom de Ghani Roudini. Il a été arrêté, il y a environ cinq ans.

La prisonnière politique Samaneh Saeedi privée de soins médicaux

 La prisonnière politique Samaneh Saeedi est détenue et privée de soins médicaux à la prison d’Evine. Son état physique serait épouvantable.

La prisonnière politique Samaneh Saeedi, 39 ans, est condamnée à 5 ans de prison depuis 2020. Incapable de supporter les conditions de détention, Mme Saeedi est détenue dans une situation torturante. Les services de renseignement du Corps des gardiens de la révolution empêchent la libération de Samaneh et son congé médical.

Le fils d’un membre de l’IRGC, plaignant dans l’affaire Soada, menace de la tuer si elle est libérée

 Soada Khadirzadeh a été menacée de meurtre par le plaignant lors de son premier procès. L’avocat de Soada a renoncé à représenter cette prisonnière politique, qui est incarcérée à la prison d’Ourmia.

Le procès de Soada Khadirzadeh s’est tenu en ligne le 24 août 2022, à la branche 3 du tribunal pénal de Mahabad. Soada, son avocat et les plaignants étaient présents.

mardi 30 août 2022

Téhéran : des portraits de Khomeiny, Khamenei et Soleimani brûlés

 En réaction à la répression des manifestations de la soif à Hamedan

En réponse à la répression violente des manifestations à Hamedan contre la pénurie d’eau, de jeunes insurgés à Téhéran et dans neuf autres villes ont mis le feu à des bannières et des portraits de Khomeiny, Khamenei et Qassem Soleimani. Ils ont aussi incendié des tableaux et des entrées de centres de répression des pasdarans et de la milice du Bassidj. En plus de la capitale, ces actes ont été menés à Qazvine, Ahwaz, Bandar Abbas, Kerman, Bojnourd, Semnan, Sari, Nichapour et Kahnoudj.

L’Iran, un pays détruit

 – Sous le règne des mollahs, l’Iran est devenu un pays branlant, comme une maison qui a désespérément besoin d’être rénovée de fond en comble. C’est ce que l’un des quotidiens officiel du régime, Ebtekar, a écrit dans sa dernière publication : « Ne laissez pas le pays devenir bancal. »

La vérité de la situation est que cela s’est produit il y a longtemps. Le régime iranien a ruiné le pays et, par conséquent, il n’y a plus rien pour le peuple iranien, et le régime n’est plus en mesure de rectifier ses erreurs.

L’augmentation des fléaux sociaux en Iran et ses conséquences

 Une vidéo déchirante d’Iran montre une petite fille vendant son dessin pour gagner sa vie. Cette vidéo ne montre qu’un aperçu du visage sinistre de la pauvreté en Iran sous la théocratie au pouvoir.

« Près de 60% des Iraniens sont sous le seuil de pauvreté cette année, et beaucoup d’autres sont dans la pauvreté et la misère absolues », a écrit le quotidien gouvernemental Jahan-e Sanat le 15 août.

400 exécutions depuis le début de l’année 2022

 – Le nombre d’exécutions à Bandar Abbas a augmenté de deux personnes. Ainsi, le nombre d’exécutions depuis le début de l’année 2022 a atteint le chiffre choquant de 400 exécutions.

Avec l’authentification d’un autre prisonnier, le nombre de personnes exécutées à la prison de Bandar Abbas est passé à au moins deux, le dimanche 28 août.

lundi 29 août 2022

DISCOURS À LA SESSION DU CNRI POUR LE 41ÈME ANNIVERSAIRE DE SA FONDATION

Discours à la session du CNRI pour le 41ème anniversaire de sa fondation

Maryam Radjavi : l’alternative au régime des mollahs plonge ses racines dans une longue lutte contre la tyrannie religieuse

Je salue les amis du CNRI présents ici et dans d’autres pays. Et j’adresse des salutations chaleureuses à tous les chers frères et sœurs qui participent à la réunion du Conseil ici et dans divers pays en tant que membres ou observateurs.

Iran : Les attaques implacables visant la minorité religieuse bahaïe persécutée doivent cesser

 La persécution exercée par les autorités iraniennes contre la minorité religieuse bahaïe s’est encore intensifiée avec une récente multiplication des attaques, des arrestations arbitraires, des démolitions de maisons et des saisies de terres, a déclaré le 24 août Amnesty International.

Depuis le 31 juillet 2022, des agents du ministère du Renseignement ont effectué des descentes et saisi plusieurs dizaines de biens immobiliers appartenant à des baha’is, et arrêté au moins 30 membres de la communauté baha’ie en raison de leur foi, dans plusieurs villes à travers l’Iran. Les autorités ont soumis un plus grand nombre encore de personnes à des interrogatoires et/ou les ont contraintes à porter un bracelet électronique à la cheville. Le ministère du Renseignement a annoncé le 1er août que les personnes arrêtées étaient des « éléments centraux du réseau d’espionnage baha’i » qui « propageaient l’enseignement baha’i » et « cherchaient à infiltrer divers niveaux du secteur de l’éducation dans le pays, en particulier les écoles maternelles ».

Iran : Le régime poursuit les exécutions à l’approche de l’AGNU*

 – Sept exécutions ont eu lieu le 20 août. Huit prisonniers ont été transférés en isolement le 21 août. Deux prisonniers ont été pendus le 22 août.

Dans le même temps, des milliers de détenus, dont des militants politiques, des femmes et des jeunes délinquants, sont toujours dans le couloir de la mort.

Enième série d’exécutions en Iran

 – La machine à exécutions ne cesse jamais en Iran. Dernièrement, une énième série d’exécutions est à ajouter au tableau de chasse des mollahs.

Les forces frontalières iraniennes tuent un autre Koulbar à Baneh

 – Les forces frontalières iraniennes ont tué un Koulbar. Il s’appelait Rebwar Rashidi. Les faits se sont déroulés dans la zone frontalière de Barvish Kani à Baneh, dans la province du Kurdistan, le 26 août.

 » Les forces du poste frontière de Hojreh ont abattu Rashidi à bout portant sans avertissement préalable alors qu’il arrivait de la frontière ». C’est ce qu’a déclaré un ami du Koulbar dans une interview accordée au Kurdistan Human Rights Network (KHRN).

L’inflation des suicides augmentent de manière inquiétante en Iran

 – Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 800 000 personnes meurent par suicide chaque année. Soit une personne toutes les 40 secondes. 2 190 personnes meurent chaque jour. Toutefois, on ne connaît pas le nombre de personnes qui pensent au suicide (une partie importante de l’étude du phénomène du suicide et de la prise de mesures préventives à son égard) et qui ne sont pas passées à l’acte pour une raison donnée, ce qui pourrait représenter des millions de plus.

dimanche 28 août 2022

Une plainte déposée contre le président iranien Ebrahim Raïssi à New York

 Lors d’une conférence de presse à Washington D.C., le Conseil national de la Résistance iranienne a annoncé sa ferme résolution de faire en sorte qu’Ebrahim Raïssi, le président iranien, réponde des crimes contre l’humanité et du génocide pour son rôle clé en tant que membre de la Commission de la mort lors du massacre des prisonniers politiques à l’été 1988 en Iran.

Aujourd’hui, 25 août, lors d’une conférence de presse à Washington D.C., le Conseil national de la Résistance iranienne a annoncé sa ferme résolution de demander à Ebrahim Raïssi, le président iranien, de répondre des crimes contre l’humanité et du génocide pour son rôle clé en tant que membre de la Commission de la mort pendant le massacre des prisonniers politiques à l’été 1988 en Iran.

Plus d'Infos : https://fr.ncr-iran.org/actualites/une-plainte-deposee-contre-le-president-iranien-ebrahim-raissi-a-new-york/ 


Téhéran : Diffusion à plein volume des slogans « renversement »

 Téhéran : Diffusion à plein volume des slogans « renversement » et « à bas Khamenei, vive Radjavi »

Le 25 aout à 19h20, heure locale, des unités de résistance à Téhéran ont poursuivi la campagne visant à briser le mur de la répression. Elles ont diffusé par haut-parleurs des slogans contre le régime dans le parc Boustan-e-Andisheh situé le quartier Khazaneh (Est de la capitale). Les slogans disaient : « à bas Khamenei, vive Radjavi », « le seul chemin vers la libération est le chemin de l’OMPI », « que la malédiction du peuple et de l’histoire retombe sur les mollahs et le chah sanguinaires », « c’est le dernier message : le temps des mollahs est terminé » et « le premier et dernier mot est renversement, renversement».

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 27 août 2022

Iran : la prisonnière politique Maryam Akbari Monfared violemment tabassée à la prison de Semnan

De g à dr : Gholam-Reza, Alireza, Abdolreza et Roghieh Akbari-Monfared
 La prisonnière politique Maryam Akbari-Monfared est sœur de quatre martyrs des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) : Alireza et Gholamreza, ainsi que les victimes du massacre de 1988 Abdolreza et Roghieh Akbari-Monfared. Elle été actuellement bannie à la prison de Semnan. Le 24 aout, lors d’un parloir avec son mari et ses filles, elle a été violemment battue par des brutes de Khamenei. Maryam Akbari, a été arrêtée lors du soulèvement de décembre 2009 à Téhéran et purge actuellement sa 13e année de prison. Une pièce qui a été ajouté à son dossier est d’avoir réclamé justice, dénoncé et porté plainte en 2016 contre l’exécution d’un de ses frères et d’une de ses sœurs lors du massacre de 30.000 prisonniers politiques de 1988.

Le droit au divorce, l’un des multiples droits dont sont privées les femmes iraniennes

 Le régime clérical en Iran discrimine les femmes dans toutes les sphères sociales. L’inégalité en matière de droit au divorce en est l’un des exemples les plus évidents. Cette inégalité est telle que de nombreuses femmes iraniennes, lorsqu’elles sont maltraitées par leur mari, préfèrent maintenir le statu quo plutôt que de s’enliser dans des « tribunaux de la famille » misogynes et des juges corrompus. Certaines femmes envisagent même le suicide.

samedi 27 août 2022

Plainte fédérale contre le président iranien Ebrahim Raïssi

 – Le jeudi 25 août 2022, le bureau de représentation du Conseil national de la résistance iranienne aux États-Unis (NCRI-US) a tenu une conférence de presse à Washington.

Lors de cette conférence, les dissidents iraniens ont présenté les détails d’une plainte déposée dans un tribunal fédéral de Manhattan contre Ebrahim Raïssi pour son rôle dans les exécutions extrajudiciaires de milliers de prisonniers politiques en 1988.

Iran : Des unités de Résistance projettent des portraits des dirigeants de la Résistance à Chiraz

 Des unités de Résistance ont projeté à Chiraz le 22 août, à 22h30, à l’aide de projecteurs extérieurs de grands portraits des dirigeants de la Résistance iranienne, Massoud et Maryam Radjavi, le slogan « nous pouvons et devons libérer l’Iran » et l’emblème de l’OMPI.

Elles ont aussi projeté le portrait barré d’Ali Khamenei avec le slogan « à bas Khamenei ». Ces images ont été diffusées sur les murs des grands immeubles de la cité Mokhaberat de Chiraz.

Les femmes assoiffées d’eau et de liberté font grève pendant trois jours à Hamedan

 Les manifestations à Hamedan, dans l’ouest de l’Iran, le 25 août 2022, ont atteint la troisième nuit de grèves consécutives pour réclamer l’eau courante.

Les mollahs au pouvoir en Iran ont refusé aux Iraniens le droit d’accéder à l’eau et à la liberté.
Les femmes assoiffées de Hamadan sont les premières victimes de la récente crise de l’eau.

Troisième nuit de manifestation à Hamedan contre la pénurie d’eau

 « Tant qu’on n’aura pas enterré les mollahs, ce pays ne vaudra rien », « canon, char et mitraille, que les mollahs aillent au diable »

Dans la soirée du 25 aout, les habitants de Hamedan ont protesté contre la pénurie d’eau, pour la troisième nuit consécutive, dans la rue Bou Ali. Depuis plus d’une semaine, la population subit des coupures d’eau potable de 12 heures, voire de 24 heures, et passe de longues heures dans les files d’attente de ravitaillement devant les camions-citernes. De nombreuses personnes, en particulier des enfants, ont été intoxiquées et hospitalisées en raison de consommation d’eau contaminée.

La faiblesse de la politique occidentale encourage les menaces terroristes du régime iranien

 L’année dernière, un tribunal belge a prononcé une peine de 20 ans de prison contre Assadollah Assadi, un diplomate iranien à la tête d’un complot visant à faire exploser le rassemblement du Conseil national de la Résistance iranienne à Paris en 2018. Les opposants du régime iranien espéraient que la condamnation d’Assadi conduirait les nations occidentales à demander des comptes à Téhéran.

Iran : 71 exécutions criminelles en trente jours, dont 28 la semaine dernière

 Appel à une action immédiate pour stopper la machine à exécuter et

Nécessité de traduire Khamenei et Raïssi en justice

La peur et l’impuissance des mollahs face à la colère et au mécontentement croissants du peuple et au danger de leur renversement, en particulier après l’échec total du gouvernement de Raïssi à freiner les soulèvements populaires, ne connaissent pas de limites. Les bourreaux de Khamenei recourent chaque jour à davantage d’exécutions brutales et de crimes odieux. Le 22 août, le régime a pendu un prisonnier nommé Abolfazl Charifi à la prison de Qazvine et un autre, Saïd Kamali à la prison de Dastguerd à Ispahan. Le 21 août, une prisonnière et deux condamnés nommés Hossein Mohseni et Fariborz Jamei ont été pendus à la prison d’Adelabad de Chiraz, et un condamné nommé Abbas Saroni à la prison de Gonbadkavous. Le 20 août, un prisonnier baloutche nommé Moïne Atashbar a été pendu à la prison de Saravan.

jeudi 25 août 2022

ACTIVITÉSDISCOURS ET ÉVÉNEMENTSNOUVELLES ET ACTIVITÉS

Discours à la session du CNRI pour le 41ème anniversaire de sa fondationACTIVITÉSDISCOURS ET ÉVÉNEMENTSNOUVELLES ET ACTIVITÉS

Discours à la session du CNRI pour le 41ème anniversaire de sa fondation

Maryam Radjavi : l’alternative au régime des mollahs plonge ses racines dans une longue lutte contre la tyrannie religieuse

Source: https://www.maryam-rajavi.com/fr/activites/

Empêchez le président iranien d’assister à l’Assemblée générale des Nations unies afin de mettre un terme à l’impunité

 L’Assemblée générale des Nations unies doit entamer sa 77e session le 13 septembre. Plusieurs dirigeants du monde s’adresseront à l’instance internationale les jours suivants.

Pour l’instant, il semble que le président iranien, Ebrahim Raïssi, ait l’intention d’assister à l’AG de l’ONU et que les États-Unis soient prêts à lui accorder un visa lui permettant de se rendre à New York. Ces deux attentes sont malheureuses dans la mesure où elles démontrent la volonté des États-Unis de fermer les yeux sur les terribles violations des
Droits de l’Homme et les menaces terroristes tout en montrant que Téhéran en est conscient.

Neuf nouvelles exécutions en Iran

  – Le régime iranien a procédé à 9 exécutions ces derniers jours.

Exécution d’Abbas Saroni après 21 ans d’emprisonnement

Abbas Saroni

Selon le Centre iranien des droits de l’homme, ces derniers jours d’août 2022, un prisonnier nommé Abbas Saroni a été exécuté à Gonbad-e Kavus après 21 ans d’emprisonnement. De même, un autre prisonnier a été exécuté à Neishabur.

Exécutions de Hossein Mohseni, Fariborz Jamei et une femme non identifiée

– Le régime des mollahs iraniens a procédé aux exécutions d’ Hossein Mohseni, Fariborz Jamei et une femme non identifiée, le 22 août 2022, à la prison centrale de Chiraz en Iran.

 Selon les informations obtenues par Iran Human Rights, l’un des hommes s’appelait Hossein Mohseni. La justice iranienne l’avait condamné à mort pour des infractions liées à la drogue. Le deuxième homme, condamné à la peine de qisas (la loi du Talion) pour meurtre, se nommait Fariborz Jamei (photo).

La prisonnière politique Maryam Akbari-Monfared battue et étranglée en prison

– La prisonnière politique Maryam Akbari-Monfared a passé 13 ans derrière les barreaux sans un seul jour de permission pour avoir demandé justice pour ses quatre frères et sœurs. Récemment, des agents pénitentiaires l’ont agressée physiquement et verbalement puis étranglée. En effet, Mme Akbari-Monfared a protesté car les autorités carcérales ont annulé la visite de sa famille parce que ses filles ne voulaient pas porter le tchador de la prison.

mercredi 24 août 2022

Situation déplorable dans le quartier des femmes d’Evine après la propagation du Coronavirus

 Seize prisonnières politiques ont protesté contre la propagation du coronavirus et le manque d’accès à des structures de soins appropriées. Dans leur lettre, elles décrivent les conditions déplorables dans le quartier des femmes de la prison d’Evine.

Les prisonnières politiques détenues dans le quartier des femmes de la prison d’Evine évoquent la nouvelle épidémie de coronavirus et le nombre croissant de prisonnières infectées. Elles ont protesté contre la forte augmentation du nombre de détenues dans le quartier et le manque d’espace adéquat pour séparer et mettre en quarantaine les malades.

Une femme non identifiée a été exécutée dans la prison d’Adel Abad à Chiraz

 Une femme non identifiée a été exécutée par pendaison à la prison d’Adel Abad, à Chiraz, le 21 août 2022. Elle et deux hommes ont été exécutés en même temps. La femme avait été accusée d’homicide volontaire.

La nouvelle de l’exécution de cette femme à la prison d’Adel Abad, à Chiraz, n’a pas encore été annoncée par des sources gouvernementales officielles. Cette récente condamnation à mort porte à 141 le nombre de femmes exécutées en Iran depuis l’été 2013.

Le QG de commandement de la milice et la direction du VEVAK de la province d’Ispahan pris pour cibles

 Aux premières heures du lundi 22 août, le QG de la milice du Bassidj des pasdarans à Ispahan, connu sous le nom d’Imam Ali, et la direction générale des services de renseignement (VEVAK) de la province éponyme ont été pris pour cibles simultanément par de jeunes insurgés.

Le QG de commandement de la milice la direction du Vevak de la province d'Ispahan pris pour cibles  https://youtu.be/mtgxT5pWJp8