Le régime iranien a arrêté Mohammad Mashhadalkobeh, 32 ans, en 2018 sur des accusations de drogue et condamné à mort. De même, ses agents ont arrêté Vahid Musa Khani, âgé de 40 ans. La justice l’a ensuite condamné à mort en 2020 pour avoir transporté de la drogue.
Selon une source informée, ces 6 prisonniers ont été transférés en cellule d’isolement la nuit dernière pour l’exécution de la sentence de mort.
Cette source a déclaré : « Ces prisonniers mémorisaient le Coran afin que leur peine soit cassée et ne soit pas exécutée. Mais la sentence a été exécutée. Les autorités judiciaires ont commencé à prononcer des condamnations à mort sous différents titres ».
La semaine dernière, les agents iraniens ont exécuté deux autres prisonniers nommés Milad Badrkhani et Hossein Bagharpour dans la prison de Saveh, sur des accusations de drogue.
Ces deux prisonniers ont été transférés de la prison d’Arak à Saveh pour y être exécutés. De même, Mehdi Noorkarmi a été exécuté à la prison d’Arak sur des accusations liées aux « stupéfiants » à l’aube du 10 août.
Ces exécutions ont eu lieu en secret et aucun média n’a publié la nouvelle.
En comptant l’exécution de ces 6 prisonniers à la prison d’Arak, au moins 267 prisonniers ont été exécutés depuis le début de l’année iranienne 1401.
Les exécutions ont pris une nouvelle vitesse et les autorités judiciaires mènent les affaires d’exécution avec une grande urgence et rapidité.
Le mercredi 27 juillet, dans un rapport, Amnesty International a mis en garde contre la terrible vague d’exécutions en Iran. L’organisation internationale a demandé que cela cesse.
Source : Javaneha/ CSDHI
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