La prisonnière politique Samaneh Saeedi, 39 ans, est condamnée à 5 ans de prison depuis 2020. Incapable de supporter les conditions de détention, Mme Saeedi est détenue dans une situation torturante. Les services de renseignement du Corps des gardiens de la révolution empêchent la libération de Samaneh et son congé médical.
Samaneh Saeedi est née en 1982. Elle a été condamnée à 5 ans de prison pour des charges telles que « blasphème » et « rassemblement et collusion contre l’État ».
La prisonnière politique Samaneh Saeedi est une militante des droits humains originaire de Mazandaran, dans le nord de l’Iran. Selon une source informée, elle a été gravement torturée lors de son interrogatoire dans le quartier A1 et a depuis perdu la capacité de marcher. Cette prisonnière politique se déplace désormais à l’aide d’un déambulateur ou d’un fauteuil roulant.
Mme Saeedi était une militante d’Instagram qui diffusait les nouvelles des prisonniers politiques par le biais de cette plateforme de médias sociaux. Des agents de la garnison Tharallah de l’IRGC ont arrêté la prisonnière politique Samaneh Saeedi et l’ont torturée lors des interrogatoires. Actuellement, les services de renseignement de l’IRGC empêchent la prisonnière politique de bénéficier d’une procédure médicale.
L’état de santé de Leila Hosseinzadeh suscite des inquiétudes
Leila Hosseinzadeh a été arrêtée à Téhéran le 20 août 2022. La famille Hosseinzadeh s’inquiète surtout de la santé de leur fille, qui souffre d’une maladie incurable.
En raison de sa maladie, qui la rendait incapable de supporter les conditions de détention, elle a été libérée de prison au printemps 2020. C’est la deuxième fois cette année que les agents du ministère des Renseignements arrêtent violemment Leila, sans tenir compte de sa maladie.
Le stress de la prison détériore la santé de Leila. Sa famille est inquiète car Leila n’a pas accès à ses médicaments vitaux.
Quelques jours après sa récente arrestation à Téhéran, Leila Hosseinzadeh a été transférée du quartier 209 de la prison d’Evine au centre de détention du département des renseignements de Chiraz, connu sous le nom de n° 100.
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