Un prisonnier exécuté à la prison de Khorramabad
Les autorités ont exécuté un prisonnier nommé Omid Ali Garavand à la prison de Khorramabad. La justice l’avait accusé de meurtre.
Selon les informations de Hengaw, Omid Ali Gravand, originaire du village de Sartarhan à Kohdasht, a été arrêté il y a deux ans pour meurtre intentionnel d’un homme et condamné à mort par le système judiciaire.
Il convient de mentionner que, sur la base des informations obtenues, les autorités judiciaires ont inscrit la mise en œuvre des cas d’exécutions à leur ordre du jour comme une question d’urgence. Dans un rapport publié le mercredi 27 juillet, Amnesty International a mis en garde contre une terrible vague d’exécutions en Iran. Et a appelé à la fin des exécutions.
Le Centre iranien des droits de l’homme a condamné l’application de peines de mort illégales. Et appelle à l’intervention des organisations internationales pour mettre fin aux crimes en Iran.
En comptant l’exécution de ce prisonnier, le nombre d’exécutions a atteint au moins 393 personnes depuis le début de l’année 2022.
Exécutions de trois prisonniers dans les prisons de Zabol et de Téhéran
A l’aube du samedi 27 août 2022, deux prisonniers nommés Gholamreza Kazemi et Reza Zahmati ont été exécutés dans la prison de Zabol sur des accusations liées à la drogue.
Selon des informations de Haalvsh, Gholamreza Kazemi était âgé d’environ 44 ans, marié et père d’un enfant, résidant à Zabol . Et Reza Zahmati, 35 ans, marié et père d’un enfant, habitait à Zabol.
Dans le document de Haalvsh, citant une source informée, il est indiqué. « Ces deux prisonniers arrêtés dans une affaire commune en 2018 pour des accusations de drogue à Zabol. La première branche du tribunal révolutionnaire de cette ville, dirigée par le juge Ehsan Babaei Tabrizi, les a condamnés à mort.
Le jeudi 25 août, on a transféré ces prisonniers en cellule d’isolement de la prison de Zabol pour être exécutés.
Exécution à Téhéran
D’autre part, le vendredi 26 août 2022, le site Rokna a rapporté que les autorités iraniennes ont exécuté un prisonnier pour viol à Téhéran. Le site ne mentionne pas l’identité, la date ou le lieu exact de l’exécution de ce prisonnier.
Selon les informations reçues, les autorités judiciaires ont inscrit les exécutions à leur agenda de toute urgence. Dans un rapport publié le mercredi 27 juillet, Amnesty International a mis en garde contre la terrible vague d’exécutions en Iran et a demandé qu’il y soit mis fin.
En incluant les exécutions de ces trois prisonniers, le nombre d’exécutions a atteint au moins 396 personnes depuis le début de l’année 2022.
Un prisonnier baloutche exécuté à la prison de Bandar Abbas
Un prisonnier baloutche nommé Esmail Bargrizan a été exécuté dans la prison de Bandar Abbas sur des accusations de drogue.
Selon le site web Haalvsh, le prisonnier s’appelait Ismail Bargrizan, 28 ans, fils de Malek, marié, avec un jeune enfant, résident de Mohammadabad, Iranshahr.
En 2018, les forces iraniennes ont arrêté Ismail Bergrizan avec un autre prisonnier nommé Saeed Sabki dans une affaire commune sur des accusations de drogue à Bandar Abbas. Le tribunal révolutionnaire de cette ville les a condamnés à mort.
Selon une source informée, « En 2018, Ismail a été arrêté à Bandar Abbas sur des accusations liées à la drogue et condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire de cette ville. »
La famille d’Ismail n’a pas pu lui trouver un avocat par manque de moyens financiers.
Selon des informations fiables, la famille d’Ismail n’a pas pu lui obtenir un avocat en raison de son manque de moyens financiers. Les autorités carcérales ont transféré ce prisonnier en isolement le vendredi 26 août. Il a eu sa dernière visite avec sa famille le samedi 27 août.
Source : Javaneha/ CSDHI
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