Le régime inhumain des mollahs accentue les pressions sur les
prisonnières politiques sympathisantes de l’Ompi et les parents des
habitants d’Achraf et de Liberty. Les détenues sont privées de tout
soin médical, et beaucoup sont dans un état grave.
- Mme Zahra Mansouri, 60 ans, parente d’habitants de Liberty, qui était sous chimiothérapie hors de la prison pour traiter un cancer, a été ramenée à la prison d’Evine malgré l’aggravation de son état. Souffrant également d’épilepsie, elle a été à plusieurs reprises privée de médicament lors de crises.
- Mme Motahareh Bahrami (Simine Danechpour) qui a contracté plusieurs maladies en prison, notamment un disque lombaire, n’a pas été hospitalisée malgré la recommandation du médecin de la prison de l’envoyer aux urgences, en raison de l’opposition du procureur criminel Jafar-Abadi et a été privée de soins. Motahareh Bahrami, 62 ans, a été arrêtée avec son époux Mohsen Danechpour, 70 ans, et leur fils Ahmad, 40 ans, en décembre 2009 pour avoir rendu visite à de la famille à Achraf et accusée de « Moharebeh » ou guerre contre Dieu. Motahareh Bahrami a été condamnée à 10 ans de prison et son fils Ahmad Danechpour à la peine de mort.
Mme Sedigheh Moradi qui souffre d’un disque cervical à la suite des tortures et des conditions carcérales effroyables, est privée de soins et vit un calvaire. Elle a déjà connu la prison politique dans les années 1980 pour son soutien à l’Ompi. Elle a été à nouveau arrêtée en avril 2011 à Téhéran et condamnée à 10 ans de prison.
La Résistance iranienne appelle l’ensemble des organes internationaux et de défense des droits humains, en particulier ceux qui défendent les droits des femmes, à s’occuper de toute urgence de la situation des détenus politiques en Iran, en particulier de mesdames Zahra Mansouri, Motahareh Bahrami et Sedigheh Moradi.
- Mme Zahra Mansouri, 60 ans, parente d’habitants de Liberty, qui était sous chimiothérapie hors de la prison pour traiter un cancer, a été ramenée à la prison d’Evine malgré l’aggravation de son état. Souffrant également d’épilepsie, elle a été à plusieurs reprises privée de médicament lors de crises.
- Mme Motahareh Bahrami (Simine Danechpour) qui a contracté plusieurs maladies en prison, notamment un disque lombaire, n’a pas été hospitalisée malgré la recommandation du médecin de la prison de l’envoyer aux urgences, en raison de l’opposition du procureur criminel Jafar-Abadi et a été privée de soins. Motahareh Bahrami, 62 ans, a été arrêtée avec son époux Mohsen Danechpour, 70 ans, et leur fils Ahmad, 40 ans, en décembre 2009 pour avoir rendu visite à de la famille à Achraf et accusée de « Moharebeh » ou guerre contre Dieu. Motahareh Bahrami a été condamnée à 10 ans de prison et son fils Ahmad Danechpour à la peine de mort.
Mme Sedigheh Moradi qui souffre d’un disque cervical à la suite des tortures et des conditions carcérales effroyables, est privée de soins et vit un calvaire. Elle a déjà connu la prison politique dans les années 1980 pour son soutien à l’Ompi. Elle a été à nouveau arrêtée en avril 2011 à Téhéran et condamnée à 10 ans de prison.
La Résistance iranienne appelle l’ensemble des organes internationaux et de défense des droits humains, en particulier ceux qui défendent les droits des femmes, à s’occuper de toute urgence de la situation des détenus politiques en Iran, en particulier de mesdames Zahra Mansouri, Motahareh Bahrami et Sedigheh Moradi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire