CSDHI -L’agence de presse officielle iranienne Tasnim a cité un responsable de l’éducation. Celui s’est exprimé au sujet de l’analphabétisation en Iran. Il déclare que « 30 % des élèves iraniens ne seront pas alphabétisés. »
« Il a ajouté qu’un tiers des élèves iraniens ne répond pas aux résultats attendus d’un élève. Bien sûr, ce n’est pas une chose étrange. Par exemple, en mathématiques, ils devraient connaître l’arithmétique élémentaire. Cependant, ce n’est même pas le cas. »
Promouvoir la mort et la superstition entre les élèves
Tasnim a ajouté que les résultats obtenus par les étudiants iraniens lors des épreuves d’un concours international de mathématiques sont très faibles. Les mauvais résultats de l’Iran parmi les pays participants de la région du Moyen-Orient sont dus aux politiques erronées du système éducatif du pays.
Si nous voulons comprendre l’origine et la nature de cette politique falsifiée, le mieux est de prêter attention au message du ministre de l’éducation au 12 mars 2021. C’était le jour de la commémoration des martyrs. Il écrit : « Le ministère de l’éducation (MEDU) doit institutionnaliser la « culture du martyr » chez les enfants de notre cher Iran. »
Par conséquent, il ne faut pas s’étonner qu’un tiers des étudiants iraniens soient analphabètes. L’objectif et la stratégie du ministère de l’éducation ne consistent pas à enseigner la science. Ils ne consistent pas non plus à cultiver le talent humain chez les étudiants. Au contraire, sa stratégie s’aligne sur celle du régime. Elle consiste à répandre le fondamentalisme dans le monde, à laver le cerveau des étudiants iraniens, à graver son soi-disant « martyr » dans le cerveau des étudiants iraniens. C’est ainsi qu’il a procédé avec de nombreuses autres nationalités. L’important pour lui est de les utiliser dans ses guerres par procuration au Moyen-Orient.
En Iran, sous le règne des mollahs, ce « martyr » n’est rien d’autre qu’une culture d’adoration de la mort et de chute dans le trou noir des péchés individuels.
Le ministre de l’éducation Mohsen Haji a ensuite souligné que le ministère de l’éducation « dans le sens de sa mission intrinsèque » s’efforce plus que jamais de « cultiver le martyr » dans les institutions des enfants d’Iran, cette « terre pacifique des opprimés » et de l’institutionnaliser.
Un tiers des élèves
Alors que ce soi-disant ministre de l’éducation voit son objectif final dans la propagation du « martyr », Massoud Kabiri, membre de la faculté de l’Institut de recherche sur l’éducation, a déclaré : « Dans le passé, ils disaient qu’un étudiant devait au moins savoir lire et écrire. Mais aujourd’hui, certains étudiants ne sont même pas à ce niveau, et ne l’atteignent jamais. »
Il a ajouté : « Si l’Iran a des problèmes dans ce domaine, cette situation n’existe pas dans d’autres pays. Si un pays est plus faible en termes de résultats que l’Iran, sa situation dans cet indicateur peut être meilleure que les capacités des étudiants iraniens. C’est très regrettable. »
Il convient de rappeler que pendant la guerre Iran-Irak, le régime a envoyé plus de 500 000 étudiants sur les lignes de front. Et ce terrible conflit a tué au moins 33 000 étudiants iraniens.
Source : Iran Focus (site anglais)
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