CNRI – Dans une lettre adressée au Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, le Président de la Commission des Affaires étrangères du Congrès, Edward Royce, a alerté le ministre sur les conditions précaires en matière sécuritaire qui entourent les opposants iraniens résidents au camp Liberty (Irak) ; il a demandé une réinstallation urgente de ces derniers.
Dans cette lettre datée du 22 août on peut lire que : la gravité de la situation sécuritaire en Irak, a exposé les résidents de Liberty aux attaques provenant des agents liées aux Gardiens de la Révolution iraniens (Pasdarans) ou des extrémistes sunnites proches de l’EIIL.
Ce danger est d’autant plus grand compte tenu de l’insuffisance des barrières de sécurité et la superficie restreinte du camp qui ne laissent pas les conditions d’une protection adéquate en cas de telles attaques.
Insistant sur la nécessité d’entreprendre des mesures urgentes pour la protection du camp, M. Royce précise : « nous devons aussi nous concentrer sur notre objectif principal qui consiste à réinstaller définitivement ces résidents dans des pays tiers.
Insistant sur la nécessité d’entreprendre des mesures urgentes pour la protection du camp, M. Royce précise : « nous devons aussi nous concentrer sur notre objectif principal qui consiste à réinstaller définitivement ces résidents dans des pays tiers.
Je souhaite rappeler ici la demande du HCR adressée à ces pays pour recevoir l’ensemble des résidents du camp en attendant des solutions à long terme (…) Si une solution durable n’est pas rapidement accessible, il est nécessaire de trouver un pays intermédiaire pour une installation provisoire (…) ce qui peut concerner également les Etats-Unis »
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