Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a affirmé que l’échec des USA et des cinq autres puissances dans les négociations nucléaires avec le régime iranien vient du manque de fermeté et de concessions injustifiées aux mollahs. Mépriser les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, a-t-elle dit, et prolonger les négociations sans fin avec le fascisme religieux, lui laisseront la voie ouverte à la bombe atomique que les mollahs considèrent comme la « garantie de survie » de leur régime.
La poursuite du marathon de 12 années de négociations avec ce régime au lieu de faire preuve de fermeté et d’intensifier les sanctions, signifie s’enfoncer dans un tunnel qui ne mène qu’à la bombe atomique. C’est répéter la politique et les erreurs qui ont amené les mollahs si près de leur but. Cela constitue une menace sérieuse et dangereuse à la paix et à la sécurité du monde.
Conformément aux lignes rouges définies par Khamenei, a expliqué Mme Radjavi, en raison de ses crises internes et redoutant les conséquences d’un abandon de l’arme nucléaire, le régime au pouvoir en Iran évitera tant qu’il le pourra de signer tout accord qui lui bloquera la voie à la bombe A. L’arme nucléaire et la domination de l’Irak sont les deux composantes nécessaires à la survie du géniteur de Daech et du banquier central du terrorisme international. Offrir sept mois de plus à ce régime, c’est uniquement lui donner davantage de temps pour fabriquer la bombe et n’offre aucune garantie ni résultat optimiste.
Mme Radjavi a mis en avant que l’an dernier, la dictature religieuse sous le coup des sanctions internationales, de son isolement intérieur et des révélations de la Résistance iranienne dans le domaine nucléaire, a été contraint de faire un pas en arrière et de signer l’accord de Genève. Mais la myriade de concessions injustifiées des pays occidentaux a encouragé le guide suprême des mollahs à poursuivre la quête de l’arme nucléaire. C’est le résultat d’un silence honteux face aux violations sauvages des droits humains, notamment les exécutions quotidiennes dans tout l’Iran et les agressions à l’acide contre les femmes, et face à l’exportation du terrorisme et l’occupation de l’Irak, de la Syrie, du Liban et du Yémen.
Mme Radjavi a rappelé qu’après la signature de l’accord de Genève elle avait précisé que « le degré de recul du régime, de son abandon de la bombe atomique et de son respect des obligations internationales, se mesure exactement au degré de fermeté et d’opposition de la communauté mondiale face aux ambitions funestes et à la tromperie exceptionnelle inhérente à ce régime (...) Toute faiblesse, hésitation et recul de la communauté internationale poussera à nouveau Khamenei à utiliser des tricheries pour parvenir à fabriquer la bombe atomique. »
Elle a averti la communauté internationale, tous les partisans de la paix et de la protection face au nucléaire que l’application totale des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, en particulier l’arrêt complet de l’enrichissement, l’adhésion au protocole additionnel et l’accès libre donné aux inspecteurs internationaux dans les centres et les sites suspects, sont nécessaires pour que ce régime abandonne l’arme nucléaire. L’expérience a montré que ce ne sera possible qu’avec la fermeté et les sanctions généralisées politiques, pétrolières et en armement, et l’éviction de ce régime d’Irak, de Syrie, du Liban et du Yémen.
Le rapport la semaine dernière du Comité international pour l’application de la justice (ISJ) montre parfaitement que les projets atomiques du régime iranien sont depuis le début entièrement à buts militaires et que toutes les activités d’apparence civile ont aussi été mises au service de la fabrication de la bombe. Jamais, conformément au TNP, le régime n’a fait volontairement de rapport à l’AIEA sur ces activités et c’est toujours la Résistance iranienne qui a fait la première ces révélations.
Conformément aux lignes rouges définies par Khamenei, a expliqué Mme Radjavi, en raison de ses crises internes et redoutant les conséquences d’un abandon de l’arme nucléaire, le régime au pouvoir en Iran évitera tant qu’il le pourra de signer tout accord qui lui bloquera la voie à la bombe A. L’arme nucléaire et la domination de l’Irak sont les deux composantes nécessaires à la survie du géniteur de Daech et du banquier central du terrorisme international. Offrir sept mois de plus à ce régime, c’est uniquement lui donner davantage de temps pour fabriquer la bombe et n’offre aucune garantie ni résultat optimiste.
Mme Radjavi a mis en avant que l’an dernier, la dictature religieuse sous le coup des sanctions internationales, de son isolement intérieur et des révélations de la Résistance iranienne dans le domaine nucléaire, a été contraint de faire un pas en arrière et de signer l’accord de Genève. Mais la myriade de concessions injustifiées des pays occidentaux a encouragé le guide suprême des mollahs à poursuivre la quête de l’arme nucléaire. C’est le résultat d’un silence honteux face aux violations sauvages des droits humains, notamment les exécutions quotidiennes dans tout l’Iran et les agressions à l’acide contre les femmes, et face à l’exportation du terrorisme et l’occupation de l’Irak, de la Syrie, du Liban et du Yémen.
Mme Radjavi a rappelé qu’après la signature de l’accord de Genève elle avait précisé que « le degré de recul du régime, de son abandon de la bombe atomique et de son respect des obligations internationales, se mesure exactement au degré de fermeté et d’opposition de la communauté mondiale face aux ambitions funestes et à la tromperie exceptionnelle inhérente à ce régime (...) Toute faiblesse, hésitation et recul de la communauté internationale poussera à nouveau Khamenei à utiliser des tricheries pour parvenir à fabriquer la bombe atomique. »
Elle a averti la communauté internationale, tous les partisans de la paix et de la protection face au nucléaire que l’application totale des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, en particulier l’arrêt complet de l’enrichissement, l’adhésion au protocole additionnel et l’accès libre donné aux inspecteurs internationaux dans les centres et les sites suspects, sont nécessaires pour que ce régime abandonne l’arme nucléaire. L’expérience a montré que ce ne sera possible qu’avec la fermeté et les sanctions généralisées politiques, pétrolières et en armement, et l’éviction de ce régime d’Irak, de Syrie, du Liban et du Yémen.
Le rapport la semaine dernière du Comité international pour l’application de la justice (ISJ) montre parfaitement que les projets atomiques du régime iranien sont depuis le début entièrement à buts militaires et que toutes les activités d’apparence civile ont aussi été mises au service de la fabrication de la bombe. Jamais, conformément au TNP, le régime n’a fait volontairement de rapport à l’AIEA sur ces activités et c’est toujours la Résistance iranienne qui a fait la première ces révélations.
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