CNRI – A Karaj (ville située à l’ouest de Téhéran), les autorités carcérales ont placé 19 prisonniers en isolement avant leur exécution imminente.
Selon les informations obtenues de l’intérieur du régime, neuf de ces condamnés à mort sont détenus dans la prison de Gowhardacht et les dix autres sont détenus dans la prison de Ghezelhassar.
Selon les informations obtenues de l’intérieur du régime, neuf de ces condamnés à mort sont détenus dans la prison de Gowhardacht et les dix autres sont détenus dans la prison de Ghezelhassar.
Par ailleurs, selon les rapports qui nous sont parvenus, deux autres prisonniers (dont un jeune-homme âgé de 23 ans) ont été pendus à l’aube du mercredi 26 novembre dans la prison principale de la ville de Qazvin (à l’ouest de Téhéran.
Depuis qu’Hassan Rohani, le président soi-disant « modérée » du régime des mollahs, est en fonction, selon les chiffres officiels du régime, plus de 1000 prisonniers, notamment des personnes mineures et des prisonniers politiques, ont été exécutés en Iran. Cependant les vrais chiffres des exécutions en Iran seraient beaucoup plus élevés que cela.
Une vidéo diffusée sur Internet cette semaine montre les familles de huit prisonniers exécutés alors qu’elles pleurent devant les corps des suppliciés placés dans des sacs noirs à l’intérieur une morgue.
Ces images ont été enregistrés discrètement avec un téléphone mobile par un témoin selon qui chaque jeudi plusieurs prisonniers sont pendus secrètement dans la ville de Kerman.
Ces images ont été enregistrés discrètement avec un téléphone mobile par un témoin selon qui chaque jeudi plusieurs prisonniers sont pendus secrètement dans la ville de Kerman.
Ce témoin oculaire a précisé : « Beaucoup des personnes exécutées sont de jeunes dealers qui ont été orphelins ou qui ont grandit dans la misère et étaient le seul ‘gageur de pain’ de leur famille.»
Depuis un an, nous observons en Iran une flambée des violations des droits de l’Homme, notamment une augmentation sans précédent du nombre des exécutions, une vague de l’attaque à l’acide contre les femmes orchestrées par le régime des mollahs, ainsi que la poursuite des persécutions contre les minorités religieuses et ethniques, les blogueurs, les journalistes et les militants politiques.
Ces exactions du régime des mollahs se poursuivent alors que les Iraniens sont très mécontents de ce régime et alors que la communauté internationale n’entreprend aucune action sérieuse pour stopper les violations des droits de l’Homme en Iran.
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