Khamenei : La Syrie est le maillon qui relie la résistance dans la région et la répression est naturelle
Khamenei redoute de voir l’Armée syrienne libre armée
CNRI - Khamenei, le guide suprême des mollahs, a souligné une fois de plus l’importance de la Syrie dans la politique d’exportation du terrorisme et de l’intégrisme du régime. Il n’a pas caché qu’il redoutait que l’ASL et les opposants syriens puissent recevoir des armes. Il a reconnu que la chute de Bachar Assad bouleversera le front régional et stratégique de défense du régime des mollahs. Il a assuré que l’on veut « détruire la Syrie qui est le maillon reliant la chaine de la résistance dans la région voisine du régime sioniste usurpateur ».
Redoutant l’avancée de l’ASL, il a déclaré : « Pour résoudre la crise syrienne, il faut empêcher l’envoi d’armes dans ce pays. » C’est avec une insolence absolue qu’il a jugé naturelle la répression sanglante de la population sans défense de Syrie, estimant que « comme dans tout pays qui voit des opposants étrangers s’armer, il est naturel que le pouvoir en place réagissent contre eux. »
Khamenei qui dirige le massacre de la population syrienne perpétré par ses pasdaran et agents en civil, et qui joue le parrain du dictateur Assad, a ajouté : « Si les opposants en Syrie abandonnent les armes, il sera alors possible de demander au gouvernement de les entendre et de leur permettre de faire connaitre leur position. » (Télévision du régime, 19 novembre)
Le 18 novembre également, Salehi, le ministre des Affaires étrangères des mollahs, a estimé dans des menaces stupides à demi couvertes que « l’envoi d’armes au mouvement du peuple syrien « réduira à néant la stabilité de la région et augmentera les risques de terrorisme ».
Dimanche 18 novembre, réagissant à la réunion de Doha et aux progrès de la coalition des forces de la résistance syrienne et de l’ASL, le régime des mollahs a rassemblé un groupe de ses mercenaires à Téhéran pour trouver un moyen d’empêcher la chute d’Assad.
Le pouvoir terroriste en Iran qui tue sans distinction chaque jour hommes, femmes, enfants et vieillards sans défense en Syrie, a osé intituler cette réunion « non à la violence, oui à démocratie », réunion dénoncée par l’ensemble des pays de la région.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 20 novembre 2012
Le 20 novembre 2012
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