![]() Alors que la dictature religieuse est cernée de crises, a-t-elle ajouté, de plus en plus isolée sur le plan intérieur et international, et qu’elle recourt à la répression, à la torture et aux tueries dans des dimensions jamais atteintes, se contenter de résolution la condamnant n’est pas suffisant. Ce régime moyenâgeux doit être mis en cause et exclu de la communauté internationale. Il s’agit là d’une réponse efficace et sérieuse au fascisme religieux et d’un message à ses victimes et au peuple iranien, comme quoi la communauté internationale a mis fin à son silence et à sa passivité face à cette tyrannie religieuse.
Tout en remerciant les pays et les parties qui ont aidé à l’adoption de cette résolution, Mme Radjavi a mis en garde tous ceux qui cherchent à dissimuler les violations des droits humains en Iran et à s’opposer à la condamnation des crimes de ce pouvoir. Le régime des mollahs en Iran n’a aucun avenir, a-t-elle martelé à leur adresse, et tout investissement politique et économique dans ce régime est voué à l’échec et ne rapportera que torts et préjudices.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne Le 27 novembre 2012 |
mercredi 28 novembre 2012
La condamnation des violations des droits humains en Iran par la 3e commission des droits de l’homme de l’ONU rend doublement nécessaire de renvoyer devant Conseil de sécurité le dossier des crimes des mollahs et de faire juger les dirigeants de ce régime
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