La Résistance iranienne condamne fermement les violences faites aux réfugiés iraniens en Grèce ces derniers jours, qui ont fait plusieurs blessés. Soulignant la responsabilité du gouvernement grec concernant la sécurité des demandeurs d'asile et des réfugiés iraniens dans ce pays, la Résistance iranienne demande instamment au gouvernement grec, en tant qu'Etat membre de l'Union européenne et signataire de la Convention 1951 de Genève sur les réfugiés, d'accorder l'asile aux réfugiés iraniens et de ne pas permettre qu’ils soient encore victimes de l’injustice, de mauvais traitements et de ségrégation alors qu’ils ont échappé à la dictature des mollahs.
Certains de ces réfugiés qui sont pourtant en Grèce depuis de nombreuses années ne jouissent toujours d’aucun statut de réfugié.
La Résistance iranienne appelle le Parlement grec, les partis politiques et les organisations des droits des réfugiés de ce pays, ainsi que le Conseil de l'UE, la commission de l'Immigration et les défenseurs du droit sacré d'asile dans toute l’Europe, à adopter des mesures immédiates pour soutenir les réfugiés en Grèce et en particulier les réfugiés iraniens et à ne pas autoriser que les droits et les valeurs universelles de l’asile soient bafoués en Europe.
Alors que le régime des mollahs prend pour cible le peuple iranien et sa jeunesse et renforce la répression, les vagues d’exécutions, les amputations, les jets d’acides et autres traitements cruels, et alors que le nombre des personnes exécutées sous la présidence de Rohani a atteint 2000 victimes, respecter des droits des demandeurs d'asile iraniens et leur accorder le droit d'asile devient une priorité.
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