CNRI - La Résistance iranienne demande aux gouvernements de la Grèce et de la Macédoine d’accueillir les demandeurs d’asile qui ont réussi à échappé de l’enfer du régime oppresseur et criminel des mollahs et qui sont arrivés aux frontières de ces deux pays. La Résistance iranienne comprend les difficultés de ces pays qui ont vu arriver plusieurs centaines de milliers de demandeurs d’asile sur leur sol, mais souligne que dans le bilan du fascisme religieux au pouvoir en Iran, il y a notamment l’exécution de 120.000 opposants politiques.
Selon la Convention de Genève signée en 1951 et selon toutes les normes et standards reconnus internationalement, les demandeurs d’asile venus d’Iran méritent de bénéficier du droit sacré d’asile.
Dans le bilan du mollah Hassan Rohani durant les deux derniers années, il y a notamment : 2000 exécutions ; des châtiments barbares et cruels comme amputations ; des attaques à l’acide contre les jeunes femmes ; le développement de pauvreté, de prostitution et de toxicomanie.
La résolution du la Troisième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU condamnant les graves violations des droits de l’Homme en Iran et adoptée le 19 novembre 2015 ne laisse aucun doute sur la nécessité d’accueillir les demandeurs d’asile iraniens. Cette résolution exprime les graves inquiétudes concernant : le nombre élevé des exécutions ; les exécutions des mineurs et des personnes qui étaient âgés de moins de 18 ans lors des faits qui leur sont reprochés ; l’absence des mécanismes de protection reconnus internationalement ; la pratique de la torture et d’autres châtiments cruels ; des discriminions et autres violations des droits humains des femmes, des filles, des minorités ethniques, linguistiques et confessionnelles. La résolution demande la fin de ces exactions dans les textes de loi et dans la pratique.
Un certain nombre de demandeurs d’asile qui ont réussi à échapper de l’enfer du régime des mollahs et qui sont actuellement bloqués dans le froid hivernal aux frontières des pays européens ont brandi des pancartes sur lesquels ils ont écrit : « En Iran, il n’y a pas de droits de l’Homme », « Nous voulons la Liberté ».
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