mercredi 13 décembre 2017

L'Iran est basé sur des piliers de violations des droits de l'homme et sur son ingérence

 Dès le premier jour, le régime iranien s'est basé sur des fondations de répression domestique et sur l'exportation du terrorisme et d'une mentalité réactionnaire et religieuse, a révélé mardi un rapport d'Al-Arabiya.
Au moment où on se parle, la propagation du terrorisme et de l'intégrisme demeure la pierre angulaire de la stratégie iranienne gérée par l'État, tous infiltrés dans la constitution de ce régime.

 La vraie image
Plus tôt cette année, le rapport de 94 pages d'Amnesty International, « Pris dans un réseau de répression : les défenseurs des droits humains iraniens attaqués », a détaillé les violations radicales des droits de l'homme de ce régime, avec une vaste overdose d'exécutions.
Comme en témoignent les années consécutives, l'Iran est le premier bourreau du monde par habitant, avec de nombreuses pendaisons continuellement et affreusement menées en public. Pendant tout ce temps, des exécutions secrètes ont lieu dans des cachots à travers le pays, y compris la tristement célèbre prison d'Evine de Téhéran.
L'Iran n'a rien de comparable à un système judiciaire, et l'actuel ministre de la Justice, Alireza Avaie, figure sur de nombreuses listes de terroristes depuis 2011 pour ses violations des droits de l'homme.
 La maison de repos
L'Iran est le parrain des violations des droits de l'homme et du terrorisme, connus comme la principale source de violations systématiques des droits de l'homme et de l’extension des conflits dans la région.
Les Pasdarans (IRGC) et la Force Qods, responsable des opérations extraterritoriales des Pasdarans, dirigée par Qassem Suleimani, célèbre pour sa cruauté, sont les principaux responsables de la répression interne en Iran, et surtout de l'expansion agressive de l'Iran au Moyen-Orient.
Pendant des décennies, les Pasdarans ont été responsables d'attentats terroristes dans ce coin du globe, y compris dans les pays comme la Syrie, l'Irak, le Liban et le Yémen. À cet égard, la pratique continue de Téhéran d'être la maison de repos des groupes terroristes mandatés ne fait l'objet d'aucun débat ni d'aucun interrogatoire.
 Révélations de changement de donne
 Les documents récemment obtenus par les forces spéciales américaines lors de leur raid sur la résidence du chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, maintenant mort au Pakistan, prouvent ce que de nombreux chercheurs ont soutenu pendant des années.
Le régime iranien n'a jamais considéré les différences sectaires comme un obstacle à la coopération avec les terroristes. Téhéran cherche à renforcer sa détermination dans l'objectif de renforcer l'influence et le soutien mondial vis-à-vis du fondamentalisme et du terrorisme.
Ces documents prouvent que le régime iranien travaillait en étroite collaboration avec al-Qaïda, y compris Ben Laden lui-même, ce qui aurait pu conduire par la suite à la coopération inévitable de Téhéran avec ISIS.
 Source : Bagdad Post, 12 décembre 2017

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire