Appel à la fin du blocus inhumain et à l’expulsion d’éléments criminels du camp Liberty
Dans une mesure inhumaine les 2 et 3 février, les forces répressives irakiennes aux ordres de Maliki ont empêché les camions citernes de vidange d’entrer dans le camp pour vider les cuves septique et les ont renvoyés. Actuellement le camp est confronté à un grave problème dans ce domaine. En cas de débordement de ces cuves ou de leur rupture, les eaux usées se répandront dans le camp pour le polluer et déclencheront des maladies dangereuses.
Dans une mesure inhumaine les 2 et 3 février, les forces répressives irakiennes aux ordres de Maliki ont empêché les camions citernes de vidange d’entrer dans le camp pour vider les cuves septique et les ont renvoyés. Actuellement le camp est confronté à un grave problème dans ce domaine. En cas de débordement de ces cuves ou de leur rupture, les eaux usées se répandront dans le camp pour le polluer et déclencheront des maladies dangereuses.
Depuis le 9 janvier, Sadeq Mohammed Kadhim et Ahmed Khozair qui ont tous deux joué un rôle actif dans le massacre des Achrafiens, ont resserré le blocus et intensifié les pressions sur les habitants du camp, y compris en limitant la vidange des cuves septiques et l’entrée du gasoil dans le camp. Ahmed Khozair a ordonné que seulement deux camions citernes vident les cuves alors qu’auparavant il y en avait cinq.
De plus, les obstacles faits à l’entrée du gasoil dans le camp vont très bientôt aggraver la pénurie d’électricité.
Par ailleurs, le 2 février, sur les ordres d’Ahmed Khozair, l’ambulance qui emmenait des malades a été contrainte de démarrer avec une heure et demie de retard, ce qui a fait rater des rendez-vous médicaux. De plus, un agent qui, en violation des accords conclus, accompagnait les malades à l’hôpital de Bagdad les a harcelés, s’est ingéré dans leurs affaires médicales et les a contraints à des restrictions. Dans un acte inhumain, il a empêché un malade de passer une analyse médicale et un autre d’acheter les médicaments que le médecin lui avait prescrits.
La Résistance iranienne met en garde contre les mesures provocatrices et dangereuses d’individus comme Ahmed Khozair et appelle l’ONU et les USA qui se sont engagés plusieurs fois par écrit à garantir la sécurité des habitants du camp Liberty, à adopter toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ce blocus criminel et expulser du camp des éléments comme Ahmed Khozair.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 4 février 2014
De plus, les obstacles faits à l’entrée du gasoil dans le camp vont très bientôt aggraver la pénurie d’électricité.
Par ailleurs, le 2 février, sur les ordres d’Ahmed Khozair, l’ambulance qui emmenait des malades a été contrainte de démarrer avec une heure et demie de retard, ce qui a fait rater des rendez-vous médicaux. De plus, un agent qui, en violation des accords conclus, accompagnait les malades à l’hôpital de Bagdad les a harcelés, s’est ingéré dans leurs affaires médicales et les a contraints à des restrictions. Dans un acte inhumain, il a empêché un malade de passer une analyse médicale et un autre d’acheter les médicaments que le médecin lui avait prescrits.
La Résistance iranienne met en garde contre les mesures provocatrices et dangereuses d’individus comme Ahmed Khozair et appelle l’ONU et les USA qui se sont engagés plusieurs fois par écrit à garantir la sécurité des habitants du camp Liberty, à adopter toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ce blocus criminel et expulser du camp des éléments comme Ahmed Khozair.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 4 février 2014
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