dimanche 9 février 2014

Pressions exercées sur plusieurs prisonniers qui ont des liens de parenté avec des résidents du camp Liberty

                                 
 Le régime des mollahs n’a pas permis au prisonnier politique Ahmad Danechpour d’être défendu par un avocat. Le procureur des mollahs à Téhéran a affirmé : « Ce prisonnier va être exécuté et par conséquent n’a pas besoin d’avocat. » Ahmad Danechpour est gravement malade et sa vie est en danger. Il y a 4 ans, Ahmad Danechpour, ainsi que son père, sa mère et son épouse, ont été arrêtés, uniquement parce qu’ils ont des liens de parenté avec des résidents du camp Liberty. Ahmad Danechpour et son père ont été accusés de « moharebeh » (« être en guerre contre le Dieu ») et ont été condamnés à mort.
Dans la prison de Gowhardacht, le prisonnier politique Jafar Eqdami a été privé du droit de visite pour une raison inconnu. La mère de ce prisonnier politique est gravement malade.

Dans la prison de Vakilabad située à Machhad (nord-est de l’Iran), les autorités carcérales ont empêché l’hospitalisation du prisonnier politique Ali Ebadi. Il fait parti des prisonniers politiques arrêtés dans les années 1980. Depuis 4 ans, il est détenu dans la prison de Vakilabad. Ali Ebadi a maintenant plus de 60 ans. Il souffre de plusieurs maladies, notamment d’une maladie aigue des reins. Dans le passé, il a eu plusieurs hémorragies internes.

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