Mise en garde contre toute concession au régime iranien
CNRI – la présidente élue du Conseil national de la résistance iranienne, Maryam Radjavi, a déclaré, samedi 8 novembre : « les mollahs persistent sur la fabrication de la bombe atomique, car ils ne sont pas sûrs de leur avenir et ils voient dans la bombe une garantie de survie. »
CNRI – la présidente élue du Conseil national de la résistance iranienne, Maryam Radjavi, a déclaré, samedi 8 novembre : « les mollahs persistent sur la fabrication de la bombe atomique, car ils ne sont pas sûrs de leur avenir et ils voient dans la bombe une garantie de survie. »
Elle a prononcé ces propos lors d’une conférence qui se tenait au siège du CNRI à Auvers-sur-Oise (Val d’oise au nord de la région parisienne).
Mme Radjavi a rappelé que l’accord provisoire du 24 novembre 2013, entre les pays 5+1 et Téhéran, devait aboutir à un accord global pour mettre fin à la fabrication de la bombe. Mais depuis un certain temps, le Guide suprême des mollahs Ali Khamenei a changé de ton. Depuis que le régime a compris que son gouvernement fantoche en Irak se faisait renverser, les mollahs ont senti le danger. Et ils sentent que l’effet d’un accord sur le nucléaire est devenu plus que jamais comme un poison mortel pour leur régime.
Elle a ajouté : « Un autre facteur qui a rendu les mollahs plus arrogants, ce sont les concessions à répétition des gouvernements occidentaux dans les négociations. Les Occidentaux se sont abstenus d’insister sur les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU et ont augmenté le nombre de centrifugeuses qu’il est autorisé à posséder. C’est pourquoi le régime est encouragé à obtenir davantage de concessions ou à gagner du temps pour garder ouverte la voie à la bombe atomique.
A l’approche de la date butoir du 24 novembre désigné pour la signature de l’accord final sur le programme nucléaire du régime iranien, la présidente élue de la Résistance iranienne a mis en garde que « tout accord doit comprendre l’application complète des résolutions du conseil de sécurité de l’ONU, l’arrêt de l’enrichissement, la fermeture des sites de Fordou, Arak et Natanz et des inspections internationales de tous les sites suspects en Iran. »
Elle a déploré que « les pays occidentaux ont gardé le silence devant la montée des violations des droits de l’homme en Iran et l’ingérence dramatique du régime dans la région pour plaire aux mollahs pendant les négociations. »
Plusieurs personnalités françaises sont intervenus à cette conférence dont le président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, Maître Henri Leclerc, le préfet Yves Bonnet ancien directeur de la DST, Abderrahmane Dahmane président du Conseil des Démocrates muslmans de France, Pierre Bercis Président des Nouveaux droits de l’homme, Elisabeth Helfer-Aubrac la fille des résistants Lucie et Raymond Aubrac et Jean-Pierre Bequet conseille général du Val d’Oise et ont apporté leurs soutien à la Résistance iranienne.
De nombreux représentant des associations de jeunes iraniens en Europe participaient à cette conférence durant laquelle certains ont pris la parole.
Elle a ajouté : « Un autre facteur qui a rendu les mollahs plus arrogants, ce sont les concessions à répétition des gouvernements occidentaux dans les négociations. Les Occidentaux se sont abstenus d’insister sur les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU et ont augmenté le nombre de centrifugeuses qu’il est autorisé à posséder. C’est pourquoi le régime est encouragé à obtenir davantage de concessions ou à gagner du temps pour garder ouverte la voie à la bombe atomique.
A l’approche de la date butoir du 24 novembre désigné pour la signature de l’accord final sur le programme nucléaire du régime iranien, la présidente élue de la Résistance iranienne a mis en garde que « tout accord doit comprendre l’application complète des résolutions du conseil de sécurité de l’ONU, l’arrêt de l’enrichissement, la fermeture des sites de Fordou, Arak et Natanz et des inspections internationales de tous les sites suspects en Iran. »
Elle a déploré que « les pays occidentaux ont gardé le silence devant la montée des violations des droits de l’homme en Iran et l’ingérence dramatique du régime dans la région pour plaire aux mollahs pendant les négociations. »
Plusieurs personnalités françaises sont intervenus à cette conférence dont le président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, Maître Henri Leclerc, le préfet Yves Bonnet ancien directeur de la DST, Abderrahmane Dahmane président du Conseil des Démocrates muslmans de France, Pierre Bercis Président des Nouveaux droits de l’homme, Elisabeth Helfer-Aubrac la fille des résistants Lucie et Raymond Aubrac et Jean-Pierre Bequet conseille général du Val d’Oise et ont apporté leurs soutien à la Résistance iranienne.
De nombreux représentant des associations de jeunes iraniens en Europe participaient à cette conférence durant laquelle certains ont pris la parole.
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