La grève de la faim des opposants iraniens commençée le 1er septembre pour protester contre le massacre du camp d'Achraf et demander la libération des sept otages enlevés ce jour-là, s'est poursuivi pour la 100e journée. Ce massacre a été perpétré par les forces du premier ministre irakien aux ordres des mollahs iraniens. Des centaines de personnes participent à cette grève de la faim d'envergure au camp Liberty (en Irak), à Genève, Melbourne, Berlin, Londres, Ottawa, Stockholm, Rome et Washington.
L'État de santé de plusieurs grévistes s'est gravement détérioré à Liberty et les médecins ont affirmé avoir du mal à normaliser leurs situations. Ces derniers souffrent de maux de tête permanents, d'étourdissements et de perte d'équilibre.
Plusieurs habitants de Liberty ont été hospitalisés et placés sous contrôle médical pour des problèmes d'hypotension, d'essoufflement, de douleurs musculaires et articulaires, ainsi que des pertes de poids en moyenne de 20 kg.
Plusieurs habitants de Liberty ont été hospitalisés et placés sous contrôle médical pour des problèmes d'hypotension, d'essoufflement, de douleurs musculaires et articulaires, ainsi que des pertes de poids en moyenne de 20 kg.
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