Massacre à Achraf, n°107
Une autorité irakienne affirme qu’un otage d’Achraf a été tué et confirme la présence des autres otages en Irak
L’agence de presse officielle du régime iranien, Irna, a annoncé le 25 décembre depuis Bagdad en citant « une source informée » irakienne que le corps de « Niknam » (Mohammad Ratebi), un des sept otages enlevé le 1 septembre à Achraf, se trouve à Bagdad et aux mains du gouvernement irakien au nombre des autres victimes. Cette autorité a qualifié Niknam de stratégiste des Moudjahidine du peuple d’Iran (Ompi).
Il s’agit d’un aveu clair, du gouvernement irakien du fait que les otages se trouvent en Irak livrés à la torture et au meurtre.
Auparavant, la Résistance iranienne avait annoncé dans plusieurs communiqués, à l’appui de détails, que les otages étaient en Irak, détenus par les forces aux ordres de Maliki.
Or le 13 novembre une haute autorité du département d’Etat dans une audition de la sous-commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants des Etats-Unis avait annoncé que « nous ne pouvons dire exactement où sont ces personnes (...) ces sept personnes ne sont pas en Irak. »
Une autorité irakienne affirme qu’un otage d’Achraf a été tué et confirme la présence des autres otages en Irak
L’agence de presse officielle du régime iranien, Irna, a annoncé le 25 décembre depuis Bagdad en citant « une source informée » irakienne que le corps de « Niknam » (Mohammad Ratebi), un des sept otages enlevé le 1 septembre à Achraf, se trouve à Bagdad et aux mains du gouvernement irakien au nombre des autres victimes. Cette autorité a qualifié Niknam de stratégiste des Moudjahidine du peuple d’Iran (Ompi).
Il s’agit d’un aveu clair, du gouvernement irakien du fait que les otages se trouvent en Irak livrés à la torture et au meurtre.
Auparavant, la Résistance iranienne avait annoncé dans plusieurs communiqués, à l’appui de détails, que les otages étaient en Irak, détenus par les forces aux ordres de Maliki.
Or le 13 novembre une haute autorité du département d’Etat dans une audition de la sous-commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants des Etats-Unis avait annoncé que « nous ne pouvons dire exactement où sont ces personnes (...) ces sept personnes ne sont pas en Irak. »
A cet égard le média Foreign Policy écrivait le 17 décembre : « Les autorités du renseignement américain croient que (...) les commandos et les forces mercenaires de l’Iran en Irak ont enlevé 7 membres de cette organisation et les ont renvoyés en Iran. Après cette attaque, ces personnes ont disparu et n’ont plus été revues et aucune information n’a percé à leur sujet. » Foreign Policy qui citait ses informations de trois responsables du renseignement soulignait que « les soldats irakiens n’ont pas empêché ce qui est arrivé dans le camp », et a rappelé que les autorités du renseignement « disent que les personnes disparues après avoir été ramenées en Iran, ont pu être placées dans des prisons secrètes pour y être interrogées ou exécutées après peu après. »
La déclaration aujourd’hui de ce responsable irakien sur la mort d’un otage est une raison irréfutable de leur présence en Irak. Pour sauver la vie des autres otages, il est plus que nécessaire et crucial que le gouvernement américain et ses services de renseignement donnent tous leurs renseignements dans la pus grande transparence sur les otages et l’attaque contre Achraf et ne laissent pas comme dans le cas de l’attaque terroriste sur le représentant américain à Ben Ghazi, que la vérité soit sacrifiée sur l’autel des considérations politiques.
La Résistance iranienne souligne à nouveau la nécessité pour l’ONU de mener une enquête indépendante et détaillée pour désigner les responsables de ce crime contre l’humanité et les traduire devant la justice internationale.
Ci-jointe, la carte de « personne protégée » de cette victime, délivrée par le gouvernement américain.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 26 décembre 2013
La déclaration aujourd’hui de ce responsable irakien sur la mort d’un otage est une raison irréfutable de leur présence en Irak. Pour sauver la vie des autres otages, il est plus que nécessaire et crucial que le gouvernement américain et ses services de renseignement donnent tous leurs renseignements dans la pus grande transparence sur les otages et l’attaque contre Achraf et ne laissent pas comme dans le cas de l’attaque terroriste sur le représentant américain à Ben Ghazi, que la vérité soit sacrifiée sur l’autel des considérations politiques.
La Résistance iranienne souligne à nouveau la nécessité pour l’ONU de mener une enquête indépendante et détaillée pour désigner les responsables de ce crime contre l’humanité et les traduire devant la justice internationale.
Ci-jointe, la carte de « personne protégée » de cette victime, délivrée par le gouvernement américain.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 26 décembre 2013
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