CNRI – Un rapport publié par le “Combating Terrorism Technical Support Office(CTTSO)”, l’Office de soutien technique à la lutte contre le terrorisme, sur le ministère du Renseignement des mollahs iraniens, le VEVAK, indique que la guerre psychologique lancée contre l’OMPI est un des principaux objectifs du Vevak depuis la guerre du Golfe de 1991 contre l’Irak.
Le rapport vient d’être publié par le Département de Recherches de la Bibliothèque du Congrès des Etats-Unis.
Les 64 pages du rapport soulignent que « le Vevak a recruté d’anciens membres des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) en Europe pour les utiliser afin de lancer une campagne de désinformation contre l’Ompi. »
L’enquête menée par ce département de recherche parlementaire et publié en décembre 2012, explique que Téhéran a « reconnu l’Ompi comme une menace » et son « appareil de renseignement considère l’Ompi comme l’organisation d’opposition la plus sérieuse ». Selon le rapport, même si le Vevak a lancé une vaste offensive psychologique contre les Moudjahidine du peuple, « l’Ompi reste néanmoins une organisation viable».
Selon le rapport, dans sa campagne contre l’OMPI, le Vevak recrute des collaborateurs non-Iraniens et Iraniens. Le rapport donne comme exemples, les cas spécifiques d’Anne Singleton, une britannique, et son mari iranien Massoud Khodabandeh, qui collaborent avec le Vevak depuis des années.
Les 64 pages du rapport soulignent que « le Vevak a recruté d’anciens membres des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) en Europe pour les utiliser afin de lancer une campagne de désinformation contre l’Ompi. »
L’enquête menée par ce département de recherche parlementaire et publié en décembre 2012, explique que Téhéran a « reconnu l’Ompi comme une menace » et son « appareil de renseignement considère l’Ompi comme l’organisation d’opposition la plus sérieuse ». Selon le rapport, même si le Vevak a lancé une vaste offensive psychologique contre les Moudjahidine du peuple, « l’Ompi reste néanmoins une organisation viable».
Selon le rapport, dans sa campagne contre l’OMPI, le Vevak recrute des collaborateurs non-Iraniens et Iraniens. Le rapport donne comme exemples, les cas spécifiques d’Anne Singleton, une britannique, et son mari iranien Massoud Khodabandeh, qui collaborent avec le Vevak depuis des années.
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