Communiqué de presse de la délégation du Congrès
17 février 2013
La délégation du Congrès appelle au retour immédiat des 3100 résidents du camp Liberty au camp d'Achraf pour assurer leur protection
Paris, le 17 février 2013 - Video - Une délégation bipartite de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants [américaine], dirigée par le Congressman Dana Rohrabacher, président de la sous-commission sur l'Europe, a rencontré Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne. La délégation comprenait le Juge Ted Poe (Rép-TX), président de la sous-commission sur le Terrorisme, la Non-prolifération et le Commerce, Brian Higgins (Dém-NY), membre de la commission des Affaires étrangères et membre éminent de la sous-commission du Contre-terrorisme et du Renseignement de la commission de la Sécurité intérieure, et le député Paul Cook (Rép-CA).
La délégation du Congrès appelle au retour immédiat des 3100 résidents du camp Liberty au camp d'Achraf pour assurer leur protection
Paris, le 17 février 2013 - Video - Une délégation bipartite de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants [américaine], dirigée par le Congressman Dana Rohrabacher, président de la sous-commission sur l'Europe, a rencontré Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne. La délégation comprenait le Juge Ted Poe (Rép-TX), président de la sous-commission sur le Terrorisme, la Non-prolifération et le Commerce, Brian Higgins (Dém-NY), membre de la commission des Affaires étrangères et membre éminent de la sous-commission du Contre-terrorisme et du Renseignement de la commission de la Sécurité intérieure, et le député Paul Cook (Rép-CA).
La délégation a discuté des moyens de contrer la menace posée par le régime iranien pour la paix et la sécurité dans le monde, l'échec des négociations sur le nucléaire pour contenir le programme d'armement nucléaire de l'Iran, les graves violations des droits humains en Iran, la menace croissante pour la sécurité et le bien-être des opposants iraniens membres des Moudjahidin-e Khalq au camp Liberty en Irak, l'augmentation du nombre des exécutions et la montée du mécontentement en Iran, et ce que les États-Unis devraient faire pour répondre à ces questions urgentes. La délégation a souligné les points suivants :
« Le gouvernement américain doit revoir sa politique concernant l'Iran après le refus par le guide suprême de la dernière offre de l'Administration américaine pour des négociations nucléaires. L'Administration devrait s’adresser à des membres de l'opposition iranienne, comme notre délégation l’a fait aujourd'hui, au lieu de mener des négociations infructueuses avec les dirigeants iraniens, qui ont seulement aidé le régime à se rapprocher de la bombe et à légitimer sa répression de l'opposition en Iran et son soutien aux terroristes dans la région.
« L'Iran est mûr pour un changement. Contrairement à l'été 2009, lorsque l'Amérique s’est mise tenue à l’écart pour regarder les gardiens de la révolution réprimer les millions de personnes qui appelaient à un changement de régime et à l’instauration de la démocratie en Iran, l'Administration Obama a besoin de tendre la main à l'opposition démocratique comme le Conseil national de la Résistance iranienne dirigée par Mme Radjavi.
«La protection intégrale des résidents de Camp Liberty ne peut être assurée qu’en les déplaçant loin du danger et en les ramenant dans leur foyer où ils ont vécu 26 ans au camp d'Achraf. Lors de 112e législature, la Chambre a adopté un texte législatif dans le cadre de HR 1905, qui appelait le gouvernement américain à exhorter le gouvernement irakien à ne pas fermer le camp d'Achraf tant que tous les résidents du camp d'Achraf n’avaient pas été interrogés par le HCR à l’intérieur du camp et réinstallés dans des pays tiers pays.
« Le transfert des résidents au camp Liberty n'a fait que rendre les 3100 membres de l'OMPI - que Téhéran considère comme sa plus grande menace interne et cherche à détruire - plus vulnérables aux attaques comme nous l’avons vu avec la tragique attaque du 9 février sur le camp qui a fait 7 morts et près de 100 blessés. Le New York Times a récemment déclaré que la campagne pour radier l'OMPI avait été soutenue par ‘‘d'éminents politiciens américains et d'anciens officiers militaires, qui considéraient le groupe comme une alternative démocratique légitime au gouvernement iranien’’.
« La conduite de la MANUI et du Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU est partiale et inacceptable, et le gouvernement américain, le Secrétaire général de l'ONU et le Haut Commissaire pour les réfugiés devraient octroyer la priorité au règlement de la situation de la sécurité des résidents du camp Liberty, qui peut être assurée par leur retour au camp d'Achraf, avant de procéder à d'autres entretiens avec les résidents.
« Le gouvernement américain doit revoir sa politique concernant l'Iran après le refus par le guide suprême de la dernière offre de l'Administration américaine pour des négociations nucléaires. L'Administration devrait s’adresser à des membres de l'opposition iranienne, comme notre délégation l’a fait aujourd'hui, au lieu de mener des négociations infructueuses avec les dirigeants iraniens, qui ont seulement aidé le régime à se rapprocher de la bombe et à légitimer sa répression de l'opposition en Iran et son soutien aux terroristes dans la région.
« L'Iran est mûr pour un changement. Contrairement à l'été 2009, lorsque l'Amérique s’est mise tenue à l’écart pour regarder les gardiens de la révolution réprimer les millions de personnes qui appelaient à un changement de régime et à l’instauration de la démocratie en Iran, l'Administration Obama a besoin de tendre la main à l'opposition démocratique comme le Conseil national de la Résistance iranienne dirigée par Mme Radjavi.
«La protection intégrale des résidents de Camp Liberty ne peut être assurée qu’en les déplaçant loin du danger et en les ramenant dans leur foyer où ils ont vécu 26 ans au camp d'Achraf. Lors de 112e législature, la Chambre a adopté un texte législatif dans le cadre de HR 1905, qui appelait le gouvernement américain à exhorter le gouvernement irakien à ne pas fermer le camp d'Achraf tant que tous les résidents du camp d'Achraf n’avaient pas été interrogés par le HCR à l’intérieur du camp et réinstallés dans des pays tiers pays.
« Le transfert des résidents au camp Liberty n'a fait que rendre les 3100 membres de l'OMPI - que Téhéran considère comme sa plus grande menace interne et cherche à détruire - plus vulnérables aux attaques comme nous l’avons vu avec la tragique attaque du 9 février sur le camp qui a fait 7 morts et près de 100 blessés. Le New York Times a récemment déclaré que la campagne pour radier l'OMPI avait été soutenue par ‘‘d'éminents politiciens américains et d'anciens officiers militaires, qui considéraient le groupe comme une alternative démocratique légitime au gouvernement iranien’’.
« La conduite de la MANUI et du Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU est partiale et inacceptable, et le gouvernement américain, le Secrétaire général de l'ONU et le Haut Commissaire pour les réfugiés devraient octroyer la priorité au règlement de la situation de la sécurité des résidents du camp Liberty, qui peut être assurée par leur retour au camp d'Achraf, avant de procéder à d'autres entretiens avec les résidents.
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