CNRI – Plus de 13.000 avocats, juristes et juges arabes ont demandé une meilleure sécurité pour les résidents du camp Liberty et une enquête complète sur le massacre du 1er septembre 2013 au camp d’Achraf.
La déclaration commune publiée par « l’Assemblée des juristes indépendants pour la défense des droits de l’Homme en Irak » appelle également l’ONU à déployer des troupes dans le camp Liberty afin d’offrir une protection quotidienne pour les résidents iraniens de ce camp.
Voici quelques extraits de la déclaration des juristes arabes :
« En 2013, le camp Liberty a été attaqué quatre fois par des roquettes lancées par les éléments du régime iranien. Lors de ces attaques, quatorze résidents sont tombés martyrs et plusieurs dizaines de résidents ont été gravement blessés ou mutilés. Ainsi, fournir des sécurités minimales pour les résidents de ce camp est une question juridique et humanitaire très essentielle. »
« Selon les documents, les résidents de ce camp sont des personnes protégées en vertu de la Quatrième Convention de Genève et sont des réfugiés sous la protection du droit international. »
« Tout blocus contre eux, en particulier un blocus médical, et leur harcèlement collectif constitue des cas de crimes contre l’humanité. Durant les cinq dernières années, en raison de ce blocus médical et d’empêchement d’accès aux centres médicaux, vingt personnes malades parmi ces résidents de ce camp ont perdu la vie. »
« La poursuite de cette attitude oppressive et insultante contre ces réfugiés constitue une violation des conventions internationales et des droits des réfugiés et doit donc cesser immédiatement. »
« L’ONU et les Etats-Unis avaient l’obligation juridique et morale de protéger le camp Liberty, en particulier après le massacre de 52 résidents du camp d’Achraf en septembre dernier. »
Les juristes signataires de cette déclaration demandent le retour des T-walls (murs de protection), la levée du blocus, l’accès des avocats à ce camp, ainsi qu’une « enquête transparente et indépendante sur le massacre au camp d’Achraf et la publication des résultats de cette enquête ».
Le camp Liberty en Irak abrite des membres et des sympathisants du mouvement d’opposition iranien, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI).
Voici quelques extraits de la déclaration des juristes arabes :
« En 2013, le camp Liberty a été attaqué quatre fois par des roquettes lancées par les éléments du régime iranien. Lors de ces attaques, quatorze résidents sont tombés martyrs et plusieurs dizaines de résidents ont été gravement blessés ou mutilés. Ainsi, fournir des sécurités minimales pour les résidents de ce camp est une question juridique et humanitaire très essentielle. »
« Selon les documents, les résidents de ce camp sont des personnes protégées en vertu de la Quatrième Convention de Genève et sont des réfugiés sous la protection du droit international. »
« Tout blocus contre eux, en particulier un blocus médical, et leur harcèlement collectif constitue des cas de crimes contre l’humanité. Durant les cinq dernières années, en raison de ce blocus médical et d’empêchement d’accès aux centres médicaux, vingt personnes malades parmi ces résidents de ce camp ont perdu la vie. »
« La poursuite de cette attitude oppressive et insultante contre ces réfugiés constitue une violation des conventions internationales et des droits des réfugiés et doit donc cesser immédiatement. »
« L’ONU et les Etats-Unis avaient l’obligation juridique et morale de protéger le camp Liberty, en particulier après le massacre de 52 résidents du camp d’Achraf en septembre dernier. »
Les juristes signataires de cette déclaration demandent le retour des T-walls (murs de protection), la levée du blocus, l’accès des avocats à ce camp, ainsi qu’une « enquête transparente et indépendante sur le massacre au camp d’Achraf et la publication des résultats de cette enquête ».
Le camp Liberty en Irak abrite des membres et des sympathisants du mouvement d’opposition iranien, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI).
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