Howard Dean, homme politique américain et ancien gouverneur, a affirmé que l’Iran sous le régime des mollahs est un « État terroriste » sans idéologie religieuse et uniquement motivé par ses intérêts politiques.
Dans une interview avec la chaîne télévisée Bloomberg, M. Dean a souligné que la politique américaine à l’égard de l’Iran avait besoin d’une profonde révision. « Le gouvernement américain a coupé l’aile dissidente de la population iranienne et a fait d’importants concessions face au régime iranien afin de continuer durant quatre mois supplémentaires les négociations avec ce régime », a-t-il déclaré.
A propos de la politique américaine dans la région, il a dit : « Je pense que nous avons tout faux. »
M. Dean a également affirmé que les Etats-Unis avaient laissé les 2800 résidents du camp Liberty en Irak dans l’insécurité, après leur avoir promis la sécurité.
Il a précisé que la véritable menace pour l’Irak ce n’est pas le groupe terroriste EIIL, mais c’est le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki qui est une « marionnette des mollahs ».
« EIIL est un mauvais problème créé par Maliki. Je pense que l’Irak en tant que pays est fini et ce pays va être divisé par des chiites sectaires contrôlés par l’Iran. Il serait très difficile pour les États-Unis d’empêcher cela » a-t-il conclut.
Interview de Bloomberg avec Howard Dean
A propos de la politique américaine dans la région, il a dit : « Je pense que nous avons tout faux. »
M. Dean a également affirmé que les Etats-Unis avaient laissé les 2800 résidents du camp Liberty en Irak dans l’insécurité, après leur avoir promis la sécurité.
Il a précisé que la véritable menace pour l’Irak ce n’est pas le groupe terroriste EIIL, mais c’est le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki qui est une « marionnette des mollahs ».
« EIIL est un mauvais problème créé par Maliki. Je pense que l’Irak en tant que pays est fini et ce pays va être divisé par des chiites sectaires contrôlés par l’Iran. Il serait très difficile pour les États-Unis d’empêcher cela » a-t-il conclut.
Interview de Bloomberg avec Howard Dean
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