L’intégrisme islamiste c'est beaucoup de dégâts humains, en raison du système répressif ultra-violent qui s'instaure sur la vie privée des gens, mais c'est aussi une destruction systématique de l'environnement. L'exemple en la matière reste encore et toujours l'Iran des mollahs.
L'une des principales causes de la crise de l'eau en Iran c'est la construction incontrôlée de barrages ces 30 dernières années. Aujourd’hui, il y a plus de 550 barrages en Iran. Cinq cent ont été construits par les pasdaran et 300 entreprises qui leur sont affiliées sans évaluation technique préalable. La construction de barrages est l’une des principales ressources de pillage pour les dirigeants du régime.
Ces barrages n’approvisionnent les terres agricoles en eau que pour un faible pourcentage, et ne pourvoient qu’un faible pourcentage de l’électricité du pays, mais ils ont asséché la plus grande partie des rivières et détruit beaucoup de terres agricoles, provoquant l'exode des villageois vers les banlieues des villes. Beaucoup de ces barrages ont été construits pour approvisionner l’industrie d’armement ou les sites nucléaires, tandis que d’autres ont pour but d’approvisionner en eau les terres et les exploitations fruitières usurpées par les pasdaran et les organes d’Etat aux dépens des ressources naturelles et de la vie d’un grand nombre de gens.
La construction de sites nucléaires qui consomment de gigantesques quantités d’eau dans des zones comme Qom, Natanz et Esfahan, déjà relativement sèches, ont aggravé la pénurie d’eau. L’une des raisons de l’assèchement du fleuve Zayandeh-roud est la concentration d’une industrie militaire dans la province d’Ispahan et la déviation de ce cours d'eau vers ces sites industriels. Réciproquement, la pénurie d’eau a touché des secteurs vitaux. Selon le parlementaire Nasser Moussavi, la pénurie d’eau a causé une récession dans l’industrie sidérurgique d’Ispahan qui fonctionne à présent à 40% de ses capacitéscomme l'indique le site officiel Khaneh Melat du 12 septembre 2014.
Ces barrages n’approvisionnent les terres agricoles en eau que pour un faible pourcentage, et ne pourvoient qu’un faible pourcentage de l’électricité du pays, mais ils ont asséché la plus grande partie des rivières et détruit beaucoup de terres agricoles, provoquant l'exode des villageois vers les banlieues des villes. Beaucoup de ces barrages ont été construits pour approvisionner l’industrie d’armement ou les sites nucléaires, tandis que d’autres ont pour but d’approvisionner en eau les terres et les exploitations fruitières usurpées par les pasdaran et les organes d’Etat aux dépens des ressources naturelles et de la vie d’un grand nombre de gens.
La construction de sites nucléaires qui consomment de gigantesques quantités d’eau dans des zones comme Qom, Natanz et Esfahan, déjà relativement sèches, ont aggravé la pénurie d’eau. L’une des raisons de l’assèchement du fleuve Zayandeh-roud est la concentration d’une industrie militaire dans la province d’Ispahan et la déviation de ce cours d'eau vers ces sites industriels. Réciproquement, la pénurie d’eau a touché des secteurs vitaux. Selon le parlementaire Nasser Moussavi, la pénurie d’eau a causé une récession dans l’industrie sidérurgique d’Ispahan qui fonctionne à présent à 40% de ses capacitéscomme l'indique le site officiel Khaneh Melat du 12 septembre 2014.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire