lundi 30 septembre 2013

Iran : Conférence à l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg

                               
Nécessité urgente de l’UE, des USA et de l’ONU de faire libérer les 7 otages d’Achraf et d’installer une équipe d’observateurs de la MANUI et les casques bleus de l’ONU à Liberty
Le 30 septembre, à l’invitation du Comité parlementaire britannique pour la liberté en Iran, une conférence à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) à Strasbourg a débattu de la situation en Iran après la mascarade électorale et des derniers événements concernant les 3000 opposants iraniens, membres de l’Ompi, en Irak, après le massacre et les exécutions collectives à Achraf.
Maryam Radjavi, Présidente-élue de la Résistance iranienne, était l’invitée d’honneur à cette conférence présidée par Brian Binley, député britannique et membre de la commission politique du Conseil de l’Europe, et à laquelle ont participé des dizaines de parlementaires européens de divers courants politiques. Parmi les orateurs figuraient Patrick Kennedy, congressman américain (1991-2011); Alan Meale, député britannique et vice-président du groupe socialiste au Conseil de l’Europe ; Joe Benton, député britannique de longue date et président de plusieurs commissions parlementaires; Jean-Pierre Michel, sénateur français membre du Conseil de l’Europe, Jean-Pierre Muller, maire français, Jordi Xucla, parlementaire espagnol et membre du Conseil de l’Europe, et Eric Voruz, parlementaire suisse, Kimmo Sasi, parlementaire finnois, membre du Conseil de l’Europe, Tini Kox sénateur néerlandais et membre du Conseil de l’Europe, et Tahar Boumedra, ancien directeur du bureau des droits de l’homme de l’ONU en Iran et responsable du dossier d’Achraf.

Dans son discours, Mme Radjavi a mis en garde contre les dangers de la nouvelle phase de l’oppression du peuple iranien par le régime au pouvoir en Iran, disant : « le régime iranien est très vulnérable face au vaste mécontentement, la menace d’un soulèvement populaire à grande échelle et la profonde crise économique. Les sanctions internationales ont exacerbé cette vulnérabilité. La dictature est sur la pente de son renversement. La montée des conflits internes au sein du régime reflète cette situation....................

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