dimanche 29 septembre 2013

Les otages d’Achraf sont détenus à la prison “Charaf” sous le contrôle d’Ahmad Maliki, le fils du premier ministre irakien

                                
Outre les mercenaires de Maliki, les tortionnaires du Vevak et de la force Qods des mollahs ont le droit d’entrer dans cette prison

Selon les informations reçues, les sept Achrafiens pris en otages sont détenus à la prison Charaf à Bagdad. C’est le fils de Maliki, Ahmad, qui est chargé de cette prison et de son contrôle.
Les otages sont en grève de la faim et sur ordre d’Ahmad Maliki, ont été transféré dans cette prison pour qu’il n’y ait aucune fuite d’informations et que nul ne soit informé de leur présence. Cette prison renferme des détenus accusés de terrorisme.

Elle est supervisée par le cabinet du premier ministre pour qu’il puisse y dissimuler ses crimes. Maliki a placé à la tête de cette prison, son fils Ahmad qui est aussi chef d’état-major. Il utilise ce lieu en particulier pour éliminer ses opposants.

Ahmad Maliki est chargé des dossiers spéciaux, de l’appareil de sécurité et pénitentiaire. Il est en charge de la sécurité de toute la zone verte et de toute entrée et sortie de cette zone. Toutes les cartes d’entrée dans cette zone, même pour les ministres, sont délivrées par le fils de Maliki. Le dossier des otages est aux mains de Fallah Fayyaz. Des agents de la force terroriste Qods et des services de renseignement des mollahs ont vu les otages en coordination avec Fallah Fayyaz. En plus des bourreaux et des interrogateurs de Maliki, des tortionnaires et des autorités de l’ambassade du régime iranien, du Vevak et de la Force Qods se rendent à la prison, et l’ambassade y a assigné un traducteur dans ce but.
La prison est truffée de caméras pour surveiller les détenus. Elle fait partie de la brigade de Bagdad (la 56e brigade), connue comme étant celle de Maliki. Il la commande directement, avec sa bande et Farouk al-Araji le chef du cabinet militaire de Maliki.

Les détenus ne peuvent y avoir accès à un avocat et ni à des visites de leur famille. Les juges qui examinent les dossiers dans cette prison sont des mercenaires de Maliki et les pires juges qui soient.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 29 septembre 2013

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