Le 21 mai à la prison de Gohardacht en banlieue de la capitale iranienne, une dizaine de jeunes âgés de 21 à 25 ans ont été transférés en cellule d'isolement, l'antichambre de la mort, signe d'une exécution imminente. La Résistance iranienne, dans un communiqué, appelle les instances internationales de défense des droits humains à sauver ces jeunes.
Un homme vient d'être exécuté le 20 mai en Iran, ce qui clôt une semaine infernale de 22 pendaisons à travers le pays et porte à 48 les exécutions du mois de mai.
Le procureur de Yassoudj, dans le centre de l'Iran, a déclaré à ce propos qu'il s'agit "d'une leçon pour le reste des gens, qu'ils sachent que l'appareil judiciaire fera preuve de sévérité et de fermeté."
Le régime iranien entretient un climat de terreur pour contenir la colère de la population et surtout des jeunes en Iran, excédés par la pauvreté, le chômage et la répression croissante.
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