Ameneh Bahrami, victime d'une attaque acide, fait face à de nombreux problèmes dans la vie et de traitement parce que les autorités du régime iranien n'ont pas assumé leur obligation de lui accorder leur soutien. Dans une lettre au Procureur général, Ameneh Bahrami se plaignait que son « prix du sang » ne lui avait pas été entièrement remboursé et qu'en conséquence, elle se trouvait redevable auprès de nombreuses personnes à qui elle a emprunté de l'argent pour payer ses soins.
De plus, sa mère n'est pas allée travailler à cause d'elle et elle n'a donc pas reçu son assurance. Donc, Mme Bahrami et sa famille sont coincées dans de grandes difficultés.
Ameneh Bahrami a été aspergée d'acide par un homme qui voulait l'épouser. Il a ensuite été condamné à une énucléation en guise de rétribution en nature, mais Mme Bahrami s'est opposée à cette barbarie en pardonnant à l'agresseur et a demandé qu'en guise de compensation (le prix du sang), il lui paye son traitement.
Source : Agence de presse officielle, Tasnim - 23 mai 2016
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