Dans le quartier des femmes de la prison d’Evine, dans la capitale iranienne, où la plupart des détenues sont des mères et des prisonnières politiques sans moyens de communication, l’hygiène est déplorable et les expose aux maladies dermatologiques et gynécologiques.
Il y a actuellement 23 prisonnières incarcérées dans la section des femmes en majorité pour des raisons politique, idéologique et sécuritaire. Elles ont des droits de visite très limités.
Selon ce rapport, l’hygiène et l’environnement de cette section est devenu pire tandis que les produits nettoyants et désinfectants ne sont pas distribués. Malgré la demande des prisonnières les responsables ont répondu «l’administration carcérale est sous le coup des sanctions [internationales] et n’a pas de budget suffisant ».
Grouillant de vermine et dans un environnement rebutant qui aggrave le manque d’hygiène, depuis mars dernier ce quartier n’a pas été désinfecté et n’utilise aucun insecticide.
Grouillant de vermine et dans un environnement rebutant qui aggrave le manque d’hygiène, depuis mars dernier ce quartier n’a pas été désinfecté et n’utilise aucun insecticide.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire