CNRI - Amnesty International a adressé une lettre ouverte à Hassan Rohani pour critiquer le refus opposé par le régime iranien aux demandes de visite en Iran des représentants de l’ONU.
Cette lettre, datée du 25 septembre et publiée sur le site d’Amnesty International, précise : « Depuis 2005, l’Iran a barré la route au Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran et ne l’a pas autorisé à se rendre dans le pays. Cela va à l’encontre des engagements pris par l’Iran en 2002, 2009 et 2010. »
Dans la suite de la lettre, Amnesty International a exprimé des inquiétudes sur la situation des droits humains en Iran, en évoquant le nombre élevé des arrestations et des exécutions arbitraires, des discriminations à l’encontre des femmes, une censure sevère contre la presse et le non respect de la liberté d’expression.
Amnesty International ajoute que la visite du Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran pourrait contribuer à l’améliortation de la situation dans ce pays.
Cette organisation de défense des droits humains souligne que depuis 2005, le régime iranien a refusé à sept reprises les demandes des représentants de l’ONU pour visiter l’Iran et continue d’opposer une fin de non recevoir aux demandes formulées notamment par : le Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran, le « groupe de travail » de l’ONU sur des personnes arrêtées ou disparues, le Rapporteur spécial de l’ONU sur les exécutions arbitraires, le Rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, les experts indépendants chargés d’étudier les problèmes et les difficultés des minorités, le Rapporteur spécial de l’ONU sur l’indépendance de la Justice, le Rapporteur spécial de l’ONU sur la liberté de religion.
Ahmad Shaheed, le Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran, a déclaré qu’à deux reprises, il a présenté à Rohani des demandes pour se rendre en Iran, mais que Rohani n’a pas donné de réponses à ses demandes.
Dans la suite de la lettre, Amnesty International a exprimé des inquiétudes sur la situation des droits humains en Iran, en évoquant le nombre élevé des arrestations et des exécutions arbitraires, des discriminations à l’encontre des femmes, une censure sevère contre la presse et le non respect de la liberté d’expression.
Amnesty International ajoute que la visite du Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran pourrait contribuer à l’améliortation de la situation dans ce pays.
Cette organisation de défense des droits humains souligne que depuis 2005, le régime iranien a refusé à sept reprises les demandes des représentants de l’ONU pour visiter l’Iran et continue d’opposer une fin de non recevoir aux demandes formulées notamment par : le Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran, le « groupe de travail » de l’ONU sur des personnes arrêtées ou disparues, le Rapporteur spécial de l’ONU sur les exécutions arbitraires, le Rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, les experts indépendants chargés d’étudier les problèmes et les difficultés des minorités, le Rapporteur spécial de l’ONU sur l’indépendance de la Justice, le Rapporteur spécial de l’ONU sur la liberté de religion.
Ahmad Shaheed, le Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Iran, a déclaré qu’à deux reprises, il a présenté à Rohani des demandes pour se rendre en Iran, mais que Rohani n’a pas donné de réponses à ses demandes.
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