Dans son discours à l’Assemblée générale de l’ONU à New York, le mollah Rohani, Président du fascisme religieux au pouvoir en Iran, a tenté d’induire en erreur la communauté internationale par des généralités et des boniments éculés.
Alors que chaque jour qui passe apporte son lot de révélations sur l’ampleur de l’ingérence de ce régime en Syrie et en Irak et que de large secteurs du Yémen, y compris sa capitale Sanaa, sont pratiquement tombés sous le contrôle du régime iranien et de ses agents, Rohani n’hésite pas à déclarer : « Parler de la domination de l’Iran sur les pays musulmans de la région n’est qu’un mythe proclamé ces dernières années dans un cadre d’iranophobie. »
Le pasdaran Alireza Zakani, député des mollahs, avait annoncé le 20 septembre : « Après la victoire au Yémen, ce sera sûrement le tour de l’Arabie saoudite. Aujourd’hui, deux millions d’hommes armés organisés se trouvent au Yémen (…) Aujourd’hui, la révolution islamique s’est emparée de trois capitales arabes et dans quelque temps elle occupera aussi Sanaa, et le système d’unification des musulmans deviendra opérationnel. »
C’est dans ces circonstances qu’à l’Assemblée générale, Rohani a qualifié le régime des mollahs d’élément de « stabilité et de sérénité » et a reproché à l’Occident d’être la cause qui a fait de la région un « paradis pour terroristes ».
Furieux du fait que le régime n’ait pas été admis aux conférences de Djeddah et de Paris, se soit vu barrer l’entrée de la coalition et craignant de voir s’envoler les acquis des mollahs dans la région, Rohani a lâché à la tribune : « Si certains pays qui se réclament du leadership de la coalition cherchent à dominer la région, ils font une erreur stratégique. » Il a réclamé avec arrogance que le leadership de la lutte contre le terrorisme soit confié aux mollahs. « Les pays de la région plus familiarisés avec ce problème peuvent, par la coopération et la coalition, mieux assumer la responsabilité de cette lutte et son leadership. Et si d’autres pays veulent agir contre le terrorisme, ils doivent leur porter assistance. » Rohani a menacé : « je dois déclarer que si aujourd’hui (…) on ne laisse pas agir les professionnels [le régime], demain le monde ne sera plus sûr pour personne. »
Rohani s’est étendu sur le véritable message de l’islam tandis que le nombre des exécutions sous son mandate a dépassé le millier et que le fondateur de ce régime Khomeiny, avait explicitement déclaré en 1982 que « nous voulons un calife qui coupe les mains, fouette et lapide à mort ».
Rohani a accusé la communauté internationale de « trop exiger dans les négociations nucléaires » et a osé affirmer qu’un accord nucléaire permettra « de se focaliser sur la solution des problèmes régionaux importants, dont la question majeure de la lutte contre la violence et le fanatisme dans la région ». Quelques jours plus tôt, de hauts responsables de son gouvernement avaient dit à l’agence Reuters que « l’Iran est prêt à coopérer avec les Etats-Unis et ses alliés pour arrêter Daech, mais il veut voir davantage de flexibilité sur son programme d’enrichissement d’uranium ».
Dans un message au grand rassemblement des Iraniens à New York le 25 septembre contre la présence de Rohani à l’Assemblée générale de l’ONU, Maryam Radjavi, Présidente élue de la Résistance iranienne, a déclaré que Daech est le fruit de l’exportation de l’intégrisme et du terrorisme par le régime du guide suprême et le fruit de la faiblesse de l’Occident face à la politique agressive de ce régime dans la région. Ce régime est le parrain de Daech. Il se trouve au cœur du problème et ne peut donc pas faire partie de la solution, a-t-elle souligné, par conséquent toute participation de ce régime dans le règlement du problème en Irak sous prétexte de lutte contre Daech, et une erreur irréparable et fatale pour la réussite de la campagne contre Daech et l’extrémisme sous la bannière de l’islam. L’instauration de la paix et de la démocratie dans la région passe par l’adoption d’une politique de fermeté avec le régime du guide suprême et son éviction de l’Irak et de la Syrie.
Mme Radjavi a rappelé que les mollahs sont dans une impasse nucléaire. S’ils décident d’abandonner leur projet d’armes nucléaires, ils feront face à une crise interne et la perspective d’une implosion. Et s’ils décident d’accélérer leur programme nucléaire, ils devront faire face à la communauté internationale. C’est pourquoi, ils cherchent à exploiter les événements régionaux pour gagner du temps. Elle a ajouté que la seule solution est la pleine application des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU par ce régime et des inspections inopinées et sans conditions de tous les centres et sites suspects en Iran.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 septembre 2014
Le pasdaran Alireza Zakani, député des mollahs, avait annoncé le 20 septembre : « Après la victoire au Yémen, ce sera sûrement le tour de l’Arabie saoudite. Aujourd’hui, deux millions d’hommes armés organisés se trouvent au Yémen (…) Aujourd’hui, la révolution islamique s’est emparée de trois capitales arabes et dans quelque temps elle occupera aussi Sanaa, et le système d’unification des musulmans deviendra opérationnel. »
C’est dans ces circonstances qu’à l’Assemblée générale, Rohani a qualifié le régime des mollahs d’élément de « stabilité et de sérénité » et a reproché à l’Occident d’être la cause qui a fait de la région un « paradis pour terroristes ».
Furieux du fait que le régime n’ait pas été admis aux conférences de Djeddah et de Paris, se soit vu barrer l’entrée de la coalition et craignant de voir s’envoler les acquis des mollahs dans la région, Rohani a lâché à la tribune : « Si certains pays qui se réclament du leadership de la coalition cherchent à dominer la région, ils font une erreur stratégique. » Il a réclamé avec arrogance que le leadership de la lutte contre le terrorisme soit confié aux mollahs. « Les pays de la région plus familiarisés avec ce problème peuvent, par la coopération et la coalition, mieux assumer la responsabilité de cette lutte et son leadership. Et si d’autres pays veulent agir contre le terrorisme, ils doivent leur porter assistance. » Rohani a menacé : « je dois déclarer que si aujourd’hui (…) on ne laisse pas agir les professionnels [le régime], demain le monde ne sera plus sûr pour personne. »
Rohani s’est étendu sur le véritable message de l’islam tandis que le nombre des exécutions sous son mandate a dépassé le millier et que le fondateur de ce régime Khomeiny, avait explicitement déclaré en 1982 que « nous voulons un calife qui coupe les mains, fouette et lapide à mort ».
Rohani a accusé la communauté internationale de « trop exiger dans les négociations nucléaires » et a osé affirmer qu’un accord nucléaire permettra « de se focaliser sur la solution des problèmes régionaux importants, dont la question majeure de la lutte contre la violence et le fanatisme dans la région ». Quelques jours plus tôt, de hauts responsables de son gouvernement avaient dit à l’agence Reuters que « l’Iran est prêt à coopérer avec les Etats-Unis et ses alliés pour arrêter Daech, mais il veut voir davantage de flexibilité sur son programme d’enrichissement d’uranium ».
Dans un message au grand rassemblement des Iraniens à New York le 25 septembre contre la présence de Rohani à l’Assemblée générale de l’ONU, Maryam Radjavi, Présidente élue de la Résistance iranienne, a déclaré que Daech est le fruit de l’exportation de l’intégrisme et du terrorisme par le régime du guide suprême et le fruit de la faiblesse de l’Occident face à la politique agressive de ce régime dans la région. Ce régime est le parrain de Daech. Il se trouve au cœur du problème et ne peut donc pas faire partie de la solution, a-t-elle souligné, par conséquent toute participation de ce régime dans le règlement du problème en Irak sous prétexte de lutte contre Daech, et une erreur irréparable et fatale pour la réussite de la campagne contre Daech et l’extrémisme sous la bannière de l’islam. L’instauration de la paix et de la démocratie dans la région passe par l’adoption d’une politique de fermeté avec le régime du guide suprême et son éviction de l’Irak et de la Syrie.
Mme Radjavi a rappelé que les mollahs sont dans une impasse nucléaire. S’ils décident d’abandonner leur projet d’armes nucléaires, ils feront face à une crise interne et la perspective d’une implosion. Et s’ils décident d’accélérer leur programme nucléaire, ils devront faire face à la communauté internationale. C’est pourquoi, ils cherchent à exploiter les événements régionaux pour gagner du temps. Elle a ajouté que la seule solution est la pleine application des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU par ce régime et des inspections inopinées et sans conditions de tous les centres et sites suspects en Iran.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 septembre 2014
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