Le chef du judiciaire des mollahs : Qui est le Secrétaire général de l’ONU pour dire stop aux exécutions ; ce sont des paroles perfides, dans fondement et irréfléchies. Les exécutions de corrompus sur Terre sont une affaire intérieure
CNRI - A l’aube du 18 septembre, dix-sept prisonniers ont été pendus à Kerman, Chiraz, Marvdacht et Bandar Abbas, dans le sud de l’Iran. Cinq des victimes (quatre à Chiraz et une à Marvdacht) ont été pendues en public. Huit condamnés ont été exécutés ensemble à la prison Chahab de Kerman. Quatre prisonniers ont été pendus à la centrale de Bandar Abbas.
Le 10 septembre, sept condamnés, pour la plupart des jeunes de 21 à 24 ans, ont été exécutés à Karadj (banlieue de Téhéran) en public et à Hamedan (ouest de l’Iran).
Le 1 septembre, quinze prisonniers ont été pendus dans les maisons d’arrêt de Hamedan et Zahedan, ainsi qu’au pénitencier de Ghezel-Hessar à Karaj. Dix des exécutés avaient mené des protestations à Ghezel Hessar.
Les 26 et 28 aout, treize prisonniers ont été pendus à la centrale de Bandar Abbas en deux groupes de cinq et de huit.
Le mollah Larijani, chef du judiciaire du régime, qui réagissait au rapport annuel du Secrétaire général de l’ONU pointant sur des aspects de la situation catastrophique des droits humains en Iran, a déclaré : « Qui est ce Secrétaire général pour dire stop aux exécutions ? Qui sont-ils pour parler de cette manière ? La peine de mort pour la corruption sur Terre est une affaire intérieure (…) beaucoup de choses sont dites dans un rapport officiel d’une importante organisation internationale ; ce sont des paroles perfides, sans fondements et irréfléchies (…) Vous n’avez pas le droit de dire, même sur la base des droits de l’homme : pourquoi vous êtes croyants ! »
L’inaction de la communauté internationale, spécialement des pays occidentaux, concernant les crimes du régime des mollahs, dont un millier d’exécutions depuis l’arrivée de Rohani à la présidence, a encouragé les mollahs à continuer et accentuer la torture, les exécutions et la répression.
Le dossier des droits humains en Iran doit être renvoyé devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Ce n’est pas juste une démarche essentielle pour stopper le cycle des crimes et des exécutions en Iran, mais c’est nécessaire pour faire respect les valeurs pour lesquelles l’ONU a été créée.
Le 10 septembre, sept condamnés, pour la plupart des jeunes de 21 à 24 ans, ont été exécutés à Karadj (banlieue de Téhéran) en public et à Hamedan (ouest de l’Iran).
Le 1 septembre, quinze prisonniers ont été pendus dans les maisons d’arrêt de Hamedan et Zahedan, ainsi qu’au pénitencier de Ghezel-Hessar à Karaj. Dix des exécutés avaient mené des protestations à Ghezel Hessar.
Les 26 et 28 aout, treize prisonniers ont été pendus à la centrale de Bandar Abbas en deux groupes de cinq et de huit.
Le mollah Larijani, chef du judiciaire du régime, qui réagissait au rapport annuel du Secrétaire général de l’ONU pointant sur des aspects de la situation catastrophique des droits humains en Iran, a déclaré : « Qui est ce Secrétaire général pour dire stop aux exécutions ? Qui sont-ils pour parler de cette manière ? La peine de mort pour la corruption sur Terre est une affaire intérieure (…) beaucoup de choses sont dites dans un rapport officiel d’une importante organisation internationale ; ce sont des paroles perfides, sans fondements et irréfléchies (…) Vous n’avez pas le droit de dire, même sur la base des droits de l’homme : pourquoi vous êtes croyants ! »
L’inaction de la communauté internationale, spécialement des pays occidentaux, concernant les crimes du régime des mollahs, dont un millier d’exécutions depuis l’arrivée de Rohani à la présidence, a encouragé les mollahs à continuer et accentuer la torture, les exécutions et la répression.
Le dossier des droits humains en Iran doit être renvoyé devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Ce n’est pas juste une démarche essentielle pour stopper le cycle des crimes et des exécutions en Iran, mais c’est nécessaire pour faire respect les valeurs pour lesquelles l’ONU a été créée.
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