CNRI - Un jour après le retour du mollah Rohani de New-York, la faction du guide suprême a exprimé ouvertement ses reproches vis-à-vis de sa conversation téléphonique avec Obama.
Dans la session du 29 septembre du parlement des mollahs, deux députés ont fustigé Rohani.
Pour le deuxième jour consécutif, le quotidien Keyhan, l’organe du guide suprême, a consacré son éditorial du 30 septembre à critiquer l’appel téléphonique Rohani-Obama.
« Ce que le grand Satan a fait à la dernière minute de la visite du Dr Rohani à New-York et lors de sa présence à l’assemblée de l’ONU, équivaut à jeter une souris dans le plat des acquis du président de la république islamique », a écrit Keyhan.
A Téhéran, les analystes disent avec certitude que les manifestations organisées contre Rohani à son retour de New-York, viennent d’un ordre qui a été donné. Personne, mis à part le guide suprême, ne peut avoir donné l’ordre de cette manifestation, et surtout du lancer de chaussure sur le Président.
Dans la session du 29 septembre du parlement des mollahs, deux députés ont fustigé Rohani.
Pour le deuxième jour consécutif, le quotidien Keyhan, l’organe du guide suprême, a consacré son éditorial du 30 septembre à critiquer l’appel téléphonique Rohani-Obama.
« Ce que le grand Satan a fait à la dernière minute de la visite du Dr Rohani à New-York et lors de sa présence à l’assemblée de l’ONU, équivaut à jeter une souris dans le plat des acquis du président de la république islamique », a écrit Keyhan.
A Téhéran, les analystes disent avec certitude que les manifestations organisées contre Rohani à son retour de New-York, viennent d’un ordre qui a été donné. Personne, mis à part le guide suprême, ne peut avoir donné l’ordre de cette manifestation, et surtout du lancer de chaussure sur le Président.
L’atout de Rohani dans son voyage à New-York était ses « pleins pouvoirs », à savoir le soutien de Khamenei. Mais la manifestation à l’aéroport et le jet de savate lui ont ôté toute sa valeur.
« Avant Rohani, rappelle Keyhan, d’autre négociateurs comme Messieurs Larijani, et Jalili avaient les pleins pouvoirs. Mais ça ne signifie pas dépasser la ligne rouge. »
« Avant Rohani, rappelle Keyhan, d’autre négociateurs comme Messieurs Larijani, et Jalili avaient les pleins pouvoirs. Mais ça ne signifie pas dépasser la ligne rouge. »
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