Plus de 100 membres des familles des détenus tués début août dans un incendie à l’intérieur de la prison après que les autorités carcérales ont empêché l’intervention des pompiers pour sauver les prisonniers, ont organisé une manifestation pour demander justice.
Au moins onze détenus ont péris dans cet incendie survenu à l’intérieur de la principale prison de la ville de Chahr-e-Kord (ouest de l’Iran).
Tout récemment, le régime iranien a reconnu que la cause de la mort de ces prisonniers a été l’inhalation de fumées.
Mansour Firouzbakht, le chef de la médecine légale dans la province de Chahar-Mahaal et Bakhtiari, a déclaré à l’agence de presse gouvernemental IRNA que ces détenus sont morts à cause de « l’inhalation de fumées et de suffocation. »
L’incident du 4 août est survenu lorsque le directeur de la prison a donné l’ordre de punir des prisonniers dans le but de terroriser les détenus qui avaient organisé une grève pendant plusieurs jours afin de protester contre les conditions de vie inhumaines en prison.
En solidarité avec leurs compagnons de cellule en grève, les autres prisonniers ont mis le feu à plusieurs matelas. Au lieu d’éteindre le feu, les autorités de la prison ont fermé les portes de la prison et ont empêché intervention des pompiers qui pour sauver les détenus avaient besoin d’abattre un mur.
Les gardiens de la prison ont alors quitté le bâtiment incendié et ont abandonné les prisonniers au milieu des flammes.
Ce soir-là, les responsables des services des renseignements du régime ont donné des ordres secrets au maire et au chef des pompiers de la ville pour censurer les rapports sur cette affaire.
Après cet incident, le président élu de la Résistance iranienne a réclamé l’envoi d’une mission internationale pour enquêter sur cette affaire et et sur les conditions de vie catastrophiques des prisonniers en Iran.
Mansour Firouzbakht, le chef de la médecine légale dans la province de Chahar-Mahaal et Bakhtiari, a déclaré à l’agence de presse gouvernemental IRNA que ces détenus sont morts à cause de « l’inhalation de fumées et de suffocation. »
L’incident du 4 août est survenu lorsque le directeur de la prison a donné l’ordre de punir des prisonniers dans le but de terroriser les détenus qui avaient organisé une grève pendant plusieurs jours afin de protester contre les conditions de vie inhumaines en prison.
En solidarité avec leurs compagnons de cellule en grève, les autres prisonniers ont mis le feu à plusieurs matelas. Au lieu d’éteindre le feu, les autorités de la prison ont fermé les portes de la prison et ont empêché intervention des pompiers qui pour sauver les détenus avaient besoin d’abattre un mur.
Les gardiens de la prison ont alors quitté le bâtiment incendié et ont abandonné les prisonniers au milieu des flammes.
Ce soir-là, les responsables des services des renseignements du régime ont donné des ordres secrets au maire et au chef des pompiers de la ville pour censurer les rapports sur cette affaire.
Après cet incident, le président élu de la Résistance iranienne a réclamé l’envoi d’une mission internationale pour enquêter sur cette affaire et et sur les conditions de vie catastrophiques des prisonniers en Iran.
Elle a insisté : « Cette atrocité sans précédent n’est qu’un exemple des exactions que les meurtriers au pouvoir en Iran commettent contre les prisonniers depuis de nombreuses années. Les dictateurs au pouvoir en Iran doivent être rejetés par les nations civilisées et traduits devant la justice pour répondre sur leurs innombrables atrocités. »
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