Le 10 septembre, le régime inhumain des mollahs a pendu sept prisonniers dans les villes de Karadj, en banlieue de Téhéran, et de Hamedan, dans l’ouest de l’Iran. Deux condamnés de 22 et 24 ans, ont été pendus en public dans le quartier Ressalat de Hamedan (IRIB, 10 septembre)
Cinq autres prisonniers, dont deux frères, Saman et Ehsan Khosravi, âgés de 21 et 30 ans, ont été exécutés à la prison de Ghezel-Hessar de Karadj. La plupart des condamnés étaient jeunes et n’avait pas de casier.
Parallèlement à cette vague d’exécutions en prison ou en public, les châtiments cruels comme l’amputation des doigts continuent. La semaine dernière, l’ancien procureur général de la province d’Ispahan Mohammad-Reza Habibi a déclaré : « L’an dernier, nous avons eu en prison cinq cas d’amputations de doigts de voleurs avec un lourd casier judiciaire en prison, mais en raison des ennemis extérieur cela n’a pas été couvert par les médias. »
Saluant le système judiciaire des mollahs pour avoir agi contre les vols à main armée, il a fait part de l’exécution de « deux chefs d’un groupe d’ennemis de Dieu » dans la province d’Ispahan, précisant que « le père de l’un d’entre eux était un Monafegh (terme péjoratif du régime pour designer l’OMPI) ». Il a ajouté : « Ils volaient des bijouteries à travers l’Iran. » (Agence Isna, 7 septembre)
L’exécution de prisonniers politiques dépeinte comme celle de prisonniers de droit commun ou de trafiquants de drogue est une méthode bien connue du fascisme religieux en Iran.
Le régime pend et ampute de jeunes Iraniens sous prétexte de vol alors que le guide suprême des mollahs Khamenei et les gardiens de la révolution se livrent en toute impunité à la corruption et au pillage et constituent les plus grands voleurs des biens du peuple iranien.
Le 5 septembre, Amir Abbas Soltani, membre de la commission d’enquête du parlement des mollahs, a révélé que l’appareil judiciaire avait fait « un bon boulot » dans le dossier de Babak Zanjani et que « les biens de Zanjani à l’étranger sont de loin plus importants que ce qu’il a [volé] ». Il a ajouté que « Babak Zanjani a facilement trompé tout le monde ». Soltani a poursuivi : « Pour l’instant le dossier de Mr. Zanjani ne bouge pas et on ne note aucun progrès. Il est incroyable que quelqu’un avec 12 accusations dans le domaine financier,15 autres plaintes etun faux certificat de naissance soit autorisé à participer dans des discussions pétrolières (commerciales). » (Site Asr Iran)
Ce pilleur de la richesse du peuple iranien qui a joué un rôle important dans le contournement des sanctions et le blanchiment d’argent de la faction de Khamenei, s’est baptisé « milicien économique » aux ordres du système du guide suprême. Zanjani a avoué « qu’il y avait un groupe qui le soutenait et qu’il est juste la vitrine de ce groupe puissant ». (Agence Irna - 8 avril 2014)
Parallèlement à cette vague d’exécutions en prison ou en public, les châtiments cruels comme l’amputation des doigts continuent. La semaine dernière, l’ancien procureur général de la province d’Ispahan Mohammad-Reza Habibi a déclaré : « L’an dernier, nous avons eu en prison cinq cas d’amputations de doigts de voleurs avec un lourd casier judiciaire en prison, mais en raison des ennemis extérieur cela n’a pas été couvert par les médias. »
Saluant le système judiciaire des mollahs pour avoir agi contre les vols à main armée, il a fait part de l’exécution de « deux chefs d’un groupe d’ennemis de Dieu » dans la province d’Ispahan, précisant que « le père de l’un d’entre eux était un Monafegh (terme péjoratif du régime pour designer l’OMPI) ». Il a ajouté : « Ils volaient des bijouteries à travers l’Iran. » (Agence Isna, 7 septembre)
L’exécution de prisonniers politiques dépeinte comme celle de prisonniers de droit commun ou de trafiquants de drogue est une méthode bien connue du fascisme religieux en Iran.
Le régime pend et ampute de jeunes Iraniens sous prétexte de vol alors que le guide suprême des mollahs Khamenei et les gardiens de la révolution se livrent en toute impunité à la corruption et au pillage et constituent les plus grands voleurs des biens du peuple iranien.
Le 5 septembre, Amir Abbas Soltani, membre de la commission d’enquête du parlement des mollahs, a révélé que l’appareil judiciaire avait fait « un bon boulot » dans le dossier de Babak Zanjani et que « les biens de Zanjani à l’étranger sont de loin plus importants que ce qu’il a [volé] ». Il a ajouté que « Babak Zanjani a facilement trompé tout le monde ». Soltani a poursuivi : « Pour l’instant le dossier de Mr. Zanjani ne bouge pas et on ne note aucun progrès. Il est incroyable que quelqu’un avec 12 accusations dans le domaine financier,15 autres plaintes etun faux certificat de naissance soit autorisé à participer dans des discussions pétrolières (commerciales). » (Site Asr Iran)
Ce pilleur de la richesse du peuple iranien qui a joué un rôle important dans le contournement des sanctions et le blanchiment d’argent de la faction de Khamenei, s’est baptisé « milicien économique » aux ordres du système du guide suprême. Zanjani a avoué « qu’il y avait un groupe qui le soutenait et qu’il est juste la vitrine de ce groupe puissant ». (Agence Irna - 8 avril 2014)
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