dimanche 1 mai 2016

Message de Mme Radjavi à l'occasion du 1er Mai : la lutte des travailleurs iraniens fait partie de la résistance pour renverser les mollahs


Message de Mme Radjavi à l'occasion du 1er Mai : la lutte des travailleurs iraniens fait partie de la résistance pour renverser les mollahs
Maryam Radjavi: la lutte des travailleurs est une partie importante de la résistance nationale du peuple iranien pour renverser la dictature religieuse
 CNRI - la présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi de la Résistance iranienne a félicité tous les travailleurs et la masse laborieuse d'Iran pour la Journée internationale du Travail. Elle a exprimé le souhait que cette année serait une année annonçant la restitution des droits de millions de travailleurs, d'honorables hommes et femmes, qui vivant sous le régime anti-ouvrier et inhumain des mollahs, ont été licenciés ou sont sur le point de l’être ou ont été condamnés à vivre dans la peur, la pauvreté et l'insécurité parce que leurs salaires ne sont pas payés en vertu de contrats blancs ou temporaires.

Mme Radjavi a salué la résistance des travailleurs emprisonnés et ajouté: la résistance et les protestations des travailleurs à l'échelle nationale indiquent qu'ils considèrent à juste titre la dictature religieuse comme la principale source d'oppression et de violation de leurs droits. Par conséquent, la restitution de ces droits ne pourra parvenir qu’avec le renversement du régime du Guide suprême.
La présidente élue de la Résistance iranienne a décrié les politiques antis ouvriers du régime en soulignant : Les travailleurs sont les principales victimes ; de la faillite et la fermeture systématique qui touche 60% des centres industriels, de la vente aux enchères des usines suite à des appels d’offre frauduleuses, de la corruption économique et l'expansion des marchés noirs, de la faillite des banques et l’intensification de l'importation des produits étrangers. Par ailleurs, l'attribution de la part du lion des revenus du pays aux guerres et aux tueries dans la région, en particulier en Syrie, a davantage appauvri et démuni les travailleurs.
Elle a ajouté: Pendant des années, le salaire minimum du travailleur iranien est resté à un dollar par heure. Selon les chiffres officiels du régime, 60% des travailleurs ne reçoivent même pas ce salaire minimum. Leur pouvoir d'achat a chuté de 187% depuis 2009.
Les licenciements se sont intensifiés sous le gouvernement de Rohani, et les travailleurs qui n’ont pas encore perdu leur emploi n’ont pas perçu leurs salaires depuis des mois et ne bénéficient pas de la sécurité de l'emploi en raison des contrats blancs et temporaires. La grande majorité de la force de travail de l'Iran est soumis à ces contrats qui ont été conçus pour subjuguer les travailleurs et les obliger à accepter la rémunération pas chère.
S’adressant aux travailleurs iraniens, dans l’ensemble du pays, Mme Radjavi a réitéré: « Même si le régime des mollahs et ses différentes factions ont bâti leur subsistance sur le pillage des fruits de vos efforts et de vos énergies, néanmoins, ce régime rongé par la crise est devenu vulnérable face à votre résistance et solidarité, en dépit de ses mesures de répression. Votre lutte pour réclamer vos droits est une partie importante de la lutte de la nation pour renverser la tyrannie religieuse des mollahs » leur a rappelé Mme Radjavi.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne, Le 1 mai 2016

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