Karaj – setting alight Qassem Soleimani’s banner- May 25, 2020
Malgré les efforts désespérés du régime clérical avec des mesures répressives accrues et une nouvelle vague d’arrestations aveugles dans diverses villes, de jeunes insurgés ont pris pour cibles plusieurs centres de répression et de pillage à Téhéran et ailleurs la semaine dernière.
En incendiant les entrées de ces centres, la jeunesse rebelle s’est faite l’écho de la colère et du rejet du peuple iranien de la dictature religieuse au bout de 40 ans de répression et de politique inhumaine.
Le 25 mai 2020, un centre d’exportation de l’extrémisme et du terrorisme à Qom, supervisé par le bureau d’Ali Khamenei, a été pris pour cible par la jeunesse rebelle. Au même moment, des centres répressifs de la milice du Bassidj à Kermanchah et à Goldasht de Karadj ont été incendiés.
À Ispahan, la Fondations des Martyrs, un centre de pillage, et le centre de la mobilisation des pasdarans, impliqué dans la répression des soulèvements, ont été pris pour cibles par de jeunes insurgés.
À Qom, le siège des sites des pasdarans a été visé. À Karadj, de jeunes rebelles ont brûlé le panneau à l’entrée du centre de la milice du Bassidj, responsable de la répression des étudiants. À Téhéran, le panneau d’affichage d’un séminaire, centre de recrutement et d’entraînement au terrorisme, et deux autres à Sonqor et Kolyaï (province de Kermanchah), ont été incendiés.
La semaine dernière, de jeunes rebelles ont également mis le feu à des portraits du guide suprême du régime, Ali Khamenei, ainsi qu’à des bannières de Qassem Soleimani, le commandant éliminé de la force terroriste Qods, dans diverses villes, dont Arak et Karadj.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 27 mai 2020
Le 27 mai 2020
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