Au lendemain du soulèvement national du peuple iranien contre la dictature du Guide suprême, le pouvoir judiciaire des mollahs a exécuté cinq jeunes prisonniers entre le 15 et le 17 janvier. Le 17 janvier, une sentence brutale d'amputation de la main d'un jeune homme pour le vol de quelques moutons a été appliquée à la prison de Machhad.
Deux prisonniers de 30 et 33 ans ont été pendus le 17 janvier à la prison centrale de Karaj. La veille, deux autres jeunes de 19 et 20 ans ont été exécutés à Machhad. Le lundi 15 janvier, un prisonnier de 27 ans a été pendu à la prison de Babol.
Par ailleurs, Abolfazl Chezani, arrêté à l'âge de 15 ans, est sur le point d'être pendu à la prison de Qom après avoir purgé quatre ans d'emprisonnement.
Le but de ces exécutions est d'intensifier le climat de terreur chez une population qui souffre de pauvreté, de chômage et d’un régime oppressif.
La réponse de la population iranienne et de sa jeunesse à cette brutalité est la poursuite de la résistance jusqu'au renversement du régime corrompu et totalitaire.
La Résistance iranienne appelle les organisations internationales de défense des droits de l'homme à prendre des mesures urgentes et efficaces pour lutter contre les exécutions arbitraires et les châtiments cruels appliqués en Iran.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 19 janvier 2018
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