Le soulèvement iranien - N°54
Le porte-parole de la Commission judiciaire du Parlement des mollahs: Les manifestants se sont suicidés en prison à cause de leurs méfaits
Le porte-parole de la Commission judiciaire du Parlement des mollahs: Les manifestants se sont suicidés en prison à cause de leurs méfaits
Le 20 janvier, les sbires du Ministère des Renseignements iranien à Kermanshah, ont remis à sa famille le corps de Gholam Reza Mohammadi, un jeune athlète arrêté le 2 janvier dernier après avoir pris part aux manifestations contre la dictature des mollahs. Les agents du régime ont déclaré honteusement que c’est le « manque de drogue » qui est la cause de son décès.
Le régime répète ces mensonges en boucle alors que ces personnes ont été tuées sous la torture. Récemment des informations et des témoignages de prisonniers libérés, ont confirmé que les prisonniers seraient contraints de prendre des comprimés toxiques. Des lycéens et étudiants ont été contraint de prendre des pilules de méthadone, une information confirmée également par des députés du régime.
Par ailleurs, le mollah Hassan Nowroozi, porte-parole de la Commission juridique du parlement, a déclaré perfidement : "Les prisonniers décédés sont morts du sentiment de culpabilité. La mort d'un grand nombre de ces personnes en prison peut être liée à leur chagrin pour les méfaits qu’ils ont commis. Ils ont pensé à la hideur de leurs actes en prison et peut-être que ça les a conduit au suicide."
Ces déclarations délirantes indiquent les craintes des autorités des conséquences de leurs crimes abjectes contre la population iranienne et ses braves enfants. Le jour où ils devront rendre des comptes de leurs innombrables crimes est proche.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 23 janvier 2018
Le 23 janvier 2018
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