samedi 27 janvier 2018

#IranProtests: Plans répressifs et arrestations collectives à Téhéran

 Plans répressifs et arrestations collectives à Téhéran,
une réaction effrayée du régime face au soulèvement du peuple iranien
Hossein Rahimi, commandant criminel de la Force de sécurité de l'État de Grand Téhéran (SSF), a annoncé le 22 janvier un nouveau plan de répression appelé "plan de sécurité nocturne de Téhéran" et a déclaré: "Il y a des centaines de policiers spécialisés et d'unités opérationnelles dans ce plan. Il a ajouté:
"La police antidrogue, la police de sécurité, la police de prévention, la police de Rahvar et l'unité de soutien participeront au plan." Auparavant, le commandant du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) avait annoncé le lancement de patrouilles de la milice Bassidj basées dans les quartiers.
Par la suite, le 23 janvier, les médias du régime ont rapporté l'arrestation de 120 personnes sous couvert de "voyous et de la racaille" à Téhéran, et citant le commandant de la police de Téhéran, ils ont écrit: "Ces plans sont exécutés tous les soirs, mais ils ont été rendus publics ce soir".
Le plan et la publication des nouvelles et des photos de ces mesures répressives indiquent la peur du régime du Guide suprême de de la poursuite des soulèvements du peuple iranien. Ghazanfari, un commandant du CGRI, a décrit le soulèvement et les protestations comme étant sans précédent dans l'histoire de l'Iran. (Fars News Agency, 20 janvier). Il y aura des jours et des années de troubles à venir", a déclaré un autre fonctionnaire du régime craignant la poursuite du soulèvement. Il a ajouté: "L'histoire n'est pas terminée et les protestations sont des symptômes graves. L'Iran est... malade. Il y a une maladie généralisée qui s'est répandue dans tout le pays... il y a une corruption généralisée et organisée, et... si au lieu de gérer la crise, nous essayons de la gérer en contournant la crise, les menaces d'aujourd'hui se transforment demain en tsunami “ (site web diplomatie iranienne géré par l'État - 20 janvier).
Il ne fait aucun doute que ces plans répressifs ne vont pas guérir le régime. Parce que le plus grand facteur d'assassinat, d'insécurité et de profanation en Iran et dans la région est la dictature religieuse qui règne en Iran et Khamenei lui-même.
La détermination de la jeunesse iranienne à déraciner ce régime corrompu et oppressif apportera la sécurité et la tranquillité à Téhéran et aux villes de l’ensemble du pays, et apportera la paix et la tranquillité dans la région.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 janvier 2018

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