Amnesty International, le 27 mars 2018 - Abdolfattah Soltani, avocat iranien de renom, spécialisé dans la défense des droits humains, a entamé une grève de la faim mercredi 21 mars, après que les autorités ont rejeté sa demande de révision judiciaire et bloqué sa permission de sortie pour le Nouvel an iranien. Lundi 26 mars, il a suspendu son jeûne, mais fait part de son intention de le reprendre le 20 avril.
Il souffre d’un certain nombre de problèmes de santé, notamment digestifs et intestinaux. Cet homme est un prisonnier d’opinion, et doit par conséquent être libéré immédiatement et sans condition.
















Un ecclésiastique de haut rang du régime clérical a déclaré : « La manière de s’occuper de ceux qui s'opposent au Hijab (voile) doit être différente des autres ».


Reporters sans Frontières

Après 50 jours de grève de la faim, la prisonnière politique Golrokh Iraee est dans un état de santé alarmant dans la prison de Qarchak à Varamin, à l'ouest de Téhéran. Elle a perdu 20 kilos et souffre de dysfonction rénale et de gonflement des jambes.




Mohammad Kalhori, un étudiant qui a tué son professeur en raison de problèmes psychologiques en 2014, sera probablement pendu dans les prochains jours.



