Un groupe d’ouvriers et de retraités des usines textiles situées au nord de l’Iran se sont rassemblés le dimanche 4 mai devant dans le parlement des mollahs à Téhéran pour protester contre le niveau trop bas de leur salaire ou leur pension de retraite.
Par ailleurs, l’agence de presse officielle IRNA a rapporté que le même jour, un groupe d’inspecteurs du ministère de l’industrie, des mines et du commerce se sont rassemblés devant le parlement pour protester contre leur conditions de travail.
Les ouvriers iraniens souffrent d’un grands nombre de problèmes tels que la précarité professionnelle, des retards dans le paiement des salaires, le niveau bas des salaires et l’absence ou l’insuffisance de système d’assurance maladie. Sous le régime des mollahs, les activité des syndicats et des associations professionnelles ont été interdites ou très restreintes.
Les ouvriers protestent en particulier contre la politique salariale du gouvernement. Le salaire minimum pour les ouvriers iraniens est équivalent de 30% des revenus mensuels correspondant au seuil de pauvreté en Iran.
Les ouvriers iraniens souffrent d’un grands nombre de problèmes tels que la précarité professionnelle, des retards dans le paiement des salaires, le niveau bas des salaires et l’absence ou l’insuffisance de système d’assurance maladie. Sous le régime des mollahs, les activité des syndicats et des associations professionnelles ont été interdites ou très restreintes.
Les ouvriers protestent en particulier contre la politique salariale du gouvernement. Le salaire minimum pour les ouvriers iraniens est équivalent de 30% des revenus mensuels correspondant au seuil de pauvreté en Iran.
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