Djazini, le directeur-adjoint du « QG de lutte contre les stupéfiants », a fait des déclarations dans lesquelles il a reconnu l’ampleur du phénomène de la toxicomanie en Iran.
« Khabar Farsi » (un site Internet lié au régime) a écrit : « Selon les statistiques, toutes les trois heures, un toxicomane meurt en Iran. »
Djazini a précisé qu’en Iran, 91% des toxicomanes sont des hommes et 9% d’entre eux sont des femmes. Il a ajouté qu’en quelques années, le nombre des femmes toxicomane a doublé dans le pays.
Par ailleurs, le ministre de l’intérieur du gouvernement de Rohani a reconnu dans un discours l’ampleur de l’usage des drogues en Iran. Dans une interview datée du 21 juin avec Isna, une agence de presse gouvernemental, il a déclaré : « En Iran, 2,6% de la population, c'est-à-dire 1,35 millions de personnes consomment régulièrement des drogues. »
Selon le secrétaire du QG de lutte contre les stupéfiants, « six millions de personnes en Iran ont au moins un toxicomane au sein de leur cercle familial et sont ainsi directement concernés par le phénomène de la toxicomanie. »
Djazini a précisé qu’en Iran, 91% des toxicomanes sont des hommes et 9% d’entre eux sont des femmes. Il a ajouté qu’en quelques années, le nombre des femmes toxicomane a doublé dans le pays.
Par ailleurs, le ministre de l’intérieur du gouvernement de Rohani a reconnu dans un discours l’ampleur de l’usage des drogues en Iran. Dans une interview datée du 21 juin avec Isna, une agence de presse gouvernemental, il a déclaré : « En Iran, 2,6% de la population, c'est-à-dire 1,35 millions de personnes consomment régulièrement des drogues. »
Selon le secrétaire du QG de lutte contre les stupéfiants, « six millions de personnes en Iran ont au moins un toxicomane au sein de leur cercle familial et sont ainsi directement concernés par le phénomène de la toxicomanie. »
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