Dans les premières heures du 20 avril, quatre condamnés ont été pendus à la prison d’Oroumieh dans le nord-ouest de l’Iran. Ils avaient été mis à l’isolement un jour avant. Leurs familles s’étaient rassemblées devant la prison depuis la veille, dès qu’elles avaient été averties de leur possible exécution.
Les forces de sécurité ont chargé les familles pour les empêcher de se regrouper, les familles ont réagi et des heurts ont éclaté. Elles ont brisé les vitres des portes d’entrées de la prison.
Incapable de faire face au nombre croissant de crises dans le pays et sur la scène internationale qui l’enserrent, le fascisme religieux au pouvoir en Iran n’a trouvé d’autre moyen que des vagues d’exécutions à travers le pays.
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