CNRI – Le lundi 12 octobre, le régime des mollahs a exécuté huit prisonniers à Oroumieh, au nord-ouest de l’Iran. Ces huit prisonniers ont été pendus à l’aube dans la prison centrale d’Oroumieh. Ils avaient été accusés de délits liés aux stupéfiants.
Le même jour, le régime des mollahs a pendu trois prisonniers en public dans la ville de Kazeroun, au sud-ouest de l’Iran. L’appareil judiciaire des mollahs avait accusé ces trois prisonniers de « Moharebeh » (être en guerre contre le Dieu).
Le dimanche 11 octobre, dans la ville portuaire de Bandar Abbas (au sud de l’Iran), un prisonnier a été exécuté après avoir purgé une peine de 15 ans de prison.
Le samedi 10 octobre, concomitamment avec la Journée mondiale contre la peine de mort, les bourreaux du régime des mollahs ont pendu trois prisonniers dans la prison centrale de la ville de Rasht (chef-lieu de la province de Guilân, au nord de l’Iran).
Le régime iranien détient le record mondial du taux le plus élevé d’exécutions par habitant. Durant les 24 derniers mois et sous la présidence de Rohani, plus de 2000 personnes ont été exécutées en Iran.
Le bureau du Haut Commissaire de l’ONU pour les droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, avait déclaré dans un communiqué daté du 5 août 2015 : « Depuis le début de cette année, le régime iranien a exécuté plus de 600 personnes. L’année dernière, au moins 753 personnes ont été exécutées en Iran. »
L’Amnesty International avait déclaré le 7 septembre : « Les autorités iraniennes doivent mettre fin à cette série sans précédent d’exécutions. Depuis le début de cette année, plus de 700 personnes ont été exécutées en Iran. »
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