dimanche 13 mars 2016

La Résistance iranienne condamne fermement le refoulement des réfugiés iraniens de l’Australie


La Résistance iranienne condamne fermement le refoulement des réfugiés iraniens de l’Australie
Appel au Parlement et aux partis politiques australiens, aux défenseurs des droits de l'Homme pour empêcher cet acte honteux
La Résistance iranienne exprime son aversion profonde au sujet de la collusion avec le fascisme religieux au pouvoir en Iran contre les réfugiés iraniens en Australie pour le refoulement de milliers de ces réfugiés et appelle le gouvernement australien à ne pas sacrifier le droit sacré d'asile pour les profits économiques mesquins à court terme.
La Résistance iranienne appelle la communauté internationale, en particulier le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, l'Union européenne et ses États membres, à condamner ce traitement des réfugiés iraniens en Australie, qui est une violation flagrante des conventions et des pactes internationaux. Elle appelle les partis politiques australiens, les organisations de défense des droits des réfugiés et des droits de l'Homme en Australie à se précipiter à secourir ces réfugiés et empêcher des pressions sur eux et éviter leurs expulsions vers l'Iran.
Les autorités australiennes ont annoncé le 9 mars que les réfugiés iraniens en Australie seraient renvoyés en Iran, selon un nouvel accord conclu avec le régime iranien. Selon les médias, le gouvernement australien en contre partie « accordera diverses bourses à des étudiants iraniens » ; bourses qui sont principalement reversées par le régime iranien aux Gardiens de la révolution (les Pasdaran) et aux collaborateurs de la théocratie.
Le régime iranien avec qui le gouvernement australien piétine si audacieusement les valeurs humaines en traitant avec lui, a transformé l'Iran en une prison pour les Iraniens, en particulier pour les femmes. Les attaques à l'acide, la flagellation, la lapidation, l'énucléation des yeux, l'amputation, l’emprisonnement des étudiants, des militants politiques et civils, des intellectuels, des avocats et des artistes dans ses prisons médiévales ne sont qu'une partie du bilan infâme du régime.

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