Le régime fondamentaliste de l'Iran a arrêté mardi un groupe de
femmes pour avoir fait du vélo en public dans la ville de Marivan située
au nord-ouest, dans la province iranienne du Kurdistan. L'incident a eu
lieu le 26 Juillet alors qu’un groupe de femmes avait l'intention de
participer à un événement sportif en faisant du vélo du Stade de Sport
de la ville jusqu’au Lac Zaribar.
Selon des témoins oculaires, les forces répressives de sécurité de l'Etat (policiers) ont approché les femmes et filles et les ont informées que sur la base d’une nouvelle directive du gouvernement la conduite de vélos par les femmes dans les lieux publics est interdite et considérée comme « illégale »
Les forces répressives ont exigé que les femmes et les filles signent des engagements écrits de ne pas répéter leur «violation» de cyclisme en public.
Plusieurs femmes ayant protesté contre la nouvelle mesure misogyne du régime ont été emmenées en garde à vue, selon des témoins.
Commentant cette nouvelle mesure répressive, Mme Farideh Karimi, membre du Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI) et militante des droits de l'Homme, a déclaré :
« La répression des femmes a été un dogme du régime des mollahs dès son départ. Cette dernière mesure restrictive montre que la misogynie s’est intensifiée sous l'administration d’Hassan Rohani. Chaque jour qui passe le régime des mollahs porte davantage atteinte aux droits fondamentaux des femmes qu’elles avaient péniblement combattus pour obtenir.
Une telle discrimination de genre et l'augmentation globale des violations brutales des droits de l'Homme démontre bien la réalité qu’Hassan Rohani ne diffère pas des autres mollahs et que les espoirs pour une amélioration des droits des femmes en Iran dont certains avaient jurés au début de son mandat de président ne sont qu’un mirage.
Le monde prend maintenant tardivement acte de cette tragédie, avec le Bureau des Affaires étrangères du Royaume-Uni qui indique dans sa dernière mise à jour sur l'Iran la semaine dernière, que la situation des droits de l'Homme a empiré au cours des six derniers mois. »
Selon des témoins oculaires, les forces répressives de sécurité de l'Etat (policiers) ont approché les femmes et filles et les ont informées que sur la base d’une nouvelle directive du gouvernement la conduite de vélos par les femmes dans les lieux publics est interdite et considérée comme « illégale »
Les forces répressives ont exigé que les femmes et les filles signent des engagements écrits de ne pas répéter leur «violation» de cyclisme en public.
Plusieurs femmes ayant protesté contre la nouvelle mesure misogyne du régime ont été emmenées en garde à vue, selon des témoins.
Commentant cette nouvelle mesure répressive, Mme Farideh Karimi, membre du Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI) et militante des droits de l'Homme, a déclaré :
« La répression des femmes a été un dogme du régime des mollahs dès son départ. Cette dernière mesure restrictive montre que la misogynie s’est intensifiée sous l'administration d’Hassan Rohani. Chaque jour qui passe le régime des mollahs porte davantage atteinte aux droits fondamentaux des femmes qu’elles avaient péniblement combattus pour obtenir.
Une telle discrimination de genre et l'augmentation globale des violations brutales des droits de l'Homme démontre bien la réalité qu’Hassan Rohani ne diffère pas des autres mollahs et que les espoirs pour une amélioration des droits des femmes en Iran dont certains avaient jurés au début de son mandat de président ne sont qu’un mirage.
Le monde prend maintenant tardivement acte de cette tragédie, avec le Bureau des Affaires étrangères du Royaume-Uni qui indique dans sa dernière mise à jour sur l'Iran la semaine dernière, que la situation des droits de l'Homme a empiré au cours des six derniers mois. »
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