a présidente-élue de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi, a
appelé la communauté internationale à condamner l'augmentation sans
précédent des exécutions collectives et arbitraires en Iran.
« L’augmentation frénétique des exécutions survient au moment où le régime des mollahs a organisé une attaque à la roquette contre le camp Liberty il y a deux semaines pour massacrer les membres de la Résistance iranienne en Irak, a-t-elle. Au cours de la semaine écoulée, au moins 30 prisonniers ont été exécutés collectivement dans différentes villes iraniennes et dans certains cas, pendus en public.
Seize de ces prisonniers ont été exécutés que dans la seule journée de dimanche 17 juillet. »
Elle a ajouté : « Tous les signes indiquent l’épuisement du régime des mollahs et leur effroi devant la perspective de leur inévitable renversement. C'est la même crainte que le régime a montré hystériquement en réponse au récent rassemblement annuel de la Résistance iranienne à Paris. Au cours des derniers jours, Téhéran a convoqué des représentants de gouvernements étrangers, a proféré des menaces ridicules de la bouche de hauts responsable du régime et mené une campagne de désinformation pathétique contre l’opposition. »
La tendance croissante des exécutions, en particulier un an après la signature de l'accord nucléaire, illustre une fois de plus le caractère infondé de « réforme » au sein du régime. Elle montre également que la politique de complaisance de l’Occident encourage ce régime cruel dans ses politiques criminelles.
« Transiger sur les principes avec ce régime à un moment où les exécutions collectives, le bellicisme et l’exportation du terrorisme par les mollahs dans la région est en hausse, revient à s’associer aux crimes de ce régime infâme. »
Elle a appelé le Conseil de sécurité des Nations Unies et les États membres de l'Union européenne à condamner fermement ces exécutions criminelles et à adopter des mesures efficaces contre Téhéran. Elle a ajouté que toutes relations économiques et politiques avec les mollahs doivent être conditionnées à l’arrêt des exécutions et à l'amélioration de la situation des droits de l'homme dans le pays.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 18 juillet 2016
« L’augmentation frénétique des exécutions survient au moment où le régime des mollahs a organisé une attaque à la roquette contre le camp Liberty il y a deux semaines pour massacrer les membres de la Résistance iranienne en Irak, a-t-elle. Au cours de la semaine écoulée, au moins 30 prisonniers ont été exécutés collectivement dans différentes villes iraniennes et dans certains cas, pendus en public.
Seize de ces prisonniers ont été exécutés que dans la seule journée de dimanche 17 juillet. »
Elle a ajouté : « Tous les signes indiquent l’épuisement du régime des mollahs et leur effroi devant la perspective de leur inévitable renversement. C'est la même crainte que le régime a montré hystériquement en réponse au récent rassemblement annuel de la Résistance iranienne à Paris. Au cours des derniers jours, Téhéran a convoqué des représentants de gouvernements étrangers, a proféré des menaces ridicules de la bouche de hauts responsable du régime et mené une campagne de désinformation pathétique contre l’opposition. »
La tendance croissante des exécutions, en particulier un an après la signature de l'accord nucléaire, illustre une fois de plus le caractère infondé de « réforme » au sein du régime. Elle montre également que la politique de complaisance de l’Occident encourage ce régime cruel dans ses politiques criminelles.
« Transiger sur les principes avec ce régime à un moment où les exécutions collectives, le bellicisme et l’exportation du terrorisme par les mollahs dans la région est en hausse, revient à s’associer aux crimes de ce régime infâme. »
Elle a appelé le Conseil de sécurité des Nations Unies et les États membres de l'Union européenne à condamner fermement ces exécutions criminelles et à adopter des mesures efficaces contre Téhéran. Elle a ajouté que toutes relations économiques et politiques avec les mollahs doivent être conditionnées à l’arrêt des exécutions et à l'amélioration de la situation des droits de l'homme dans le pays.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 18 juillet 2016
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