BUSINESS WIRE (Washington) - Les législateurs bipartisans approuvent une résolution visant à traduire en justice les auteurs du massacre des prisonniers politiques en Iran en 1988. Le soutien bipartisan croit en faveur d'une résolution de la Chambre des représentants introduite par le député Michael McCaul (R-TX), le président du Comité de la sécurité intérieure, Eliot Engel (D-NY), membre de haut rang de la Commission des affaires étrangères au sein de la Chambre des représentants (HFAC) et Ed Royce (R-CA), le président du HFAC. La résolution condamne la situation des droits de l'homme qui se détériore en Iran et le régime iranien "pour le massacre de 1988 et pour avoir nié les preuves de ces crimes manifestes contre l'humanité".
Les législateurs bipartisans approuvent la résolution de traduire en justice les auteurs du massacre des prisonniers de l'OMPI en 1988. La résolution 159 de la Chambre des représentants, coparrainée par une cinquantaine de membres de la Chambre, exhorte les Nations Unies à "créer une commission d'investigation chargée d'enquêter sur le massacre et de recueillir des preuves et d'identifier les noms et les rôles de certains auteurs en vue de les traduire en justice ".
La mesure note que "le massacre a été mené à bien en vertu d'une fatwa, ou décret religieux, émis par l'ancien Guide suprême, l'ayatollah Ruhollah Khomeini, qui visait ... les Moudjahidines du Peuple d'Iran (OMPI), et citant Amnesty International : entre le 27 juillet 1988 et la fin de cette année-là, des milliers de prisonniers politiques en Iran, y compris des prisonniers d'opinion, ont été exécutés dans des prisons à travers tout le pays.
Tout en soulignant que "la majorité des personnes tuées étaient des sympathisants de l'OMPI", la résolution souligne que "dans une cassette audio récemment diulguée, le défunt Hussein Ali Montazeri, grand ayatollah qui a servi en tant que chef adjoint de Khomeiny, a noté les efforts du régime pour prendre por cible l'OMPI et a déclaré que les massacres de 1988 étaient "le plus grand crime commis pendant la République islamique, pour lequel l'histoire nous condamnera".
Le 27 novembre 2016, un tribunal du régime iranien a condamné Ahmad Montazeri, le fils de l'ayatollah Montazeri, âgé de 60 ans, à 21 ans de prison pour avoir dévoilé les enregistrements.
Les représentants des deux côtés du couloir ont également coparrainé la résolution qui stipule que "les responsables personnels de ces exécutions de masse comprennent de hauts fonctionnaires au service de l'actuel gouvernement iranien". Le ministre de la Justice, Mostafa Pour-Mohammadi, qui avait précédemment nié le massacre, s'est vanté qu'il était "fier" d'avoir accompli "le commandement de Dieu" en exécutant les membres de l'OMPI.
"Il s'agit d'une législation importante qui doit être suivie par des mesures prises par l'administration américaine en se tenant auprès des victimes de la répression et de ceux qui veulent établir la démocratie en Iran", a déclaré Soona Samsami, représentante américaine du Conseil national des Résistance de l'Iran.
La résolution exhorte "l'administration et les alliés des États-Unis à condamner publiquement le massacre et à faire pression sur le gouvernement iranien pour qu'il fournisse des informations détaillées aux familles des victimes au sujet de leurs proches et du lieu où ils ont été enterrés".
Les législateurs bipartisans approuvent la résolution de traduire en justice les auteurs du massacre des prisonniers de l'OMPI en 1988. La résolution 159 de la Chambre des représentants, coparrainée par une cinquantaine de membres de la Chambre, exhorte les Nations Unies à "créer une commission d'investigation chargée d'enquêter sur le massacre et de recueillir des preuves et d'identifier les noms et les rôles de certains auteurs en vue de les traduire en justice ".
La mesure note que "le massacre a été mené à bien en vertu d'une fatwa, ou décret religieux, émis par l'ancien Guide suprême, l'ayatollah Ruhollah Khomeini, qui visait ... les Moudjahidines du Peuple d'Iran (OMPI), et citant Amnesty International : entre le 27 juillet 1988 et la fin de cette année-là, des milliers de prisonniers politiques en Iran, y compris des prisonniers d'opinion, ont été exécutés dans des prisons à travers tout le pays.
Tout en soulignant que "la majorité des personnes tuées étaient des sympathisants de l'OMPI", la résolution souligne que "dans une cassette audio récemment diulguée, le défunt Hussein Ali Montazeri, grand ayatollah qui a servi en tant que chef adjoint de Khomeiny, a noté les efforts du régime pour prendre por cible l'OMPI et a déclaré que les massacres de 1988 étaient "le plus grand crime commis pendant la République islamique, pour lequel l'histoire nous condamnera".
Le 27 novembre 2016, un tribunal du régime iranien a condamné Ahmad Montazeri, le fils de l'ayatollah Montazeri, âgé de 60 ans, à 21 ans de prison pour avoir dévoilé les enregistrements.
Les représentants des deux côtés du couloir ont également coparrainé la résolution qui stipule que "les responsables personnels de ces exécutions de masse comprennent de hauts fonctionnaires au service de l'actuel gouvernement iranien". Le ministre de la Justice, Mostafa Pour-Mohammadi, qui avait précédemment nié le massacre, s'est vanté qu'il était "fier" d'avoir accompli "le commandement de Dieu" en exécutant les membres de l'OMPI.
"Il s'agit d'une législation importante qui doit être suivie par des mesures prises par l'administration américaine en se tenant auprès des victimes de la répression et de ceux qui veulent établir la démocratie en Iran", a déclaré Soona Samsami, représentante américaine du Conseil national des Résistance de l'Iran.
La résolution exhorte "l'administration et les alliés des États-Unis à condamner publiquement le massacre et à faire pression sur le gouvernement iranien pour qu'il fournisse des informations détaillées aux familles des victimes au sujet de leurs proches et du lieu où ils ont été enterrés".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire